Délia Romanès chante depuis toujours. Dans son campement de Roumanie, quand elle était enfant ; sous le chapiteau de son cirque, depuis bientôt 20 ans. Elle a fui son pays dirigé par le dictateur Ceausescu pour arriver en France dans les années 80. De sa rencontre avec Alexandre Bouglione sont nés cinq enfants et le cirque Romanès. Une entreprise à laquelle participe toute la famille pour faire vivre la culture tsigane.
"Notre cirque n'est pas pareil aux autres . Nous avons
cassé toutes les conventions du cirque traditionnel et personne n'a encore réussi à nous classer. Chez nous, ce
qui est important, c'est l'âme, le rythme et la musique qui est ininterrompue
du début à la fin." Si son cirque est sa famille, elle rappelle qu'il n'y a
aucune barrière vis-à-vis des spectateurs. Elle est surnommée "Délia la
Terrible" par son mari, parce qu'"il dit que je ne suis jamais fatiguée"
avoue-t-elle. Elle revient ensuite sur sa fuite de Roumanie quand elle avait
15 ans, la rencontre avec Alexandre, et sa vie d'aujourd'hui sur les routes de France
et du monde.
France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "La Quotidienne Radio". À tout moment, vous pouvez vous désinscrire via le lien en bas de ces newsletters. Pour en savoir plus, consultez notre
politique de confidentialité.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.