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Les lauréats du Fipcom exposés à l’Institut du Monde Arabe

Article rédigé par Laurent Filippi
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Sur les 300 candidats à avoir présenté leurs reportages au Fujaïrah International Photojournalism Competition (Fipcom) seuls cinq ont été retenus par le jury, présidé par Jean-Pierre Vrignaud, rédacteur en chef de National Geographic France.

En partenariat avec l’Agence France-Presse, le Fipcom organisé par l’Emirat de Fujaïrah désire promouvoir le photojournalisme dans la région des Emirats et l’échange entre monde arabe et Occident.
 
Epidémie d’Ebola, violence en Ukraine, conflit syrien, lutte indienne et championnat israélien de Triathlon sont les thèmes des reportages traités par les finalistes.
 
Ces reportages sont présentés en accès gratuit à l’Institut du Monde Arabe jusqu’au 11 octobre 2015.
 
Géopolis vous propose d’en découvrir quelques clichés.
 

A 39 ans, il a sillonné le monde couvrant de grands événements comme la guerre en Irak, le procès de Saddam Hussein ou le retour de Benazir Bhutto au Pakistan. Ses reportages lui ont valu trois World Press Photo. En 2015, il a été nommé Photographe de l'année par Pictures of the Year International et remporté un Prix Pulitzer. A National Geographic, il parle de son travail sur l’épidémie d’Ebola au Liberia. Voir son reportage…
  (Daniel Berehulak / New York Times / Getty Reportage)
Signalé pour la première fois en Afrique de l’Ouest en mars 2014, c’est pourtant d’après les scientifiques le 26 décembre 2013 à Meliandou, un village reculé de Guinée, que le virus aurait frappé pour la première fois un petit garçon qui en mourra deux jours plus tard. (Daniel Berehulak / New York Times / Getty Reportage)
les deux derniers malades d'Ebola connus en Sierra Leone sont sortis de l'hôpital. Une nouvelle étape vers la fin de l'épidémie dans le pays selon les autorités sanitaires. Alors que le virus est pratiquement éradiqué en Guinée, le Liberia a été déclaré libre de contagion.  (Daniel Berehulak / New York Times / Getty Reportage)
depuis la fin 2013 sur environ 27.500 cas en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée. Un bilan cependant sous-évalué, de l'aveu même de l'OMS qui a déclaré que la lutte contre Ebola se poursuivra jusqu'en 2016. (Daniel Berehulak / New York Times / Getty Reportage)
Photographe de 22 ans, il a commencé à travailler pour l'Agence France-Presse en janvier 2014. C'est à Alep, où il est né, que Baraa s'est mis à la photographie en 2011 à l'occasion de manifestations pacifiques à travers la Syrie. Il utilise l'application Bambuser pour diffuser en direct sur internet les événements qui se déroulent sous ses yeux. Quand la révolution syrienne éclate, il commence à filmer et à photographier les protestations anti-régime…il raconte. ( Baraa Al-Halabi)
Né en 1975 à Sao Paulo, il devient photographe pour l’AFP en 2001. S’il couvre principalement l’Amérique latine pendant onze ans, il se rend également en Irak en 2003 et 2008, dans la bande de Gaza en 2004, en Afghanistan en 2010 et plus récemment en Ukraine.  Voir le reportage et son interview sur le «New York Times». Ses reportages sont publiés dans la presse internationale («Libération», «Guardian», «Paris Match»…). (Mauricio Lima )
Il a débuté dans la photographie de sport en 1979. Spécialiste de tennis, il a contribué entre 1986 et 1992 aux livres «Roland-Garros vu par les vingt meilleurs photographes de tennis» et couvert trois Coupe du Monde de football entre 1982 et 1990. Il a fondé Reporters, une agence indépendante. Il a illustré une trentaine d'ouvrages sur la Chine, la Thaïlande, Budapest, Venise... ainsi que de nombreux reportages publiés dans le «National Geographic», «Geo» et «Paris-Match»... (Alain Schroeder)
Photographe professionnel depuis qu'il a 21 ans. A 35 ans, il a notamment travaillé pour le quotidien israélien de Tel Aviv, «Yediot Aharonot», sur le sport et l'actualité. Indépendant aujourd'hui, il continue ses collaborations avec le journal en tant qu'éditeur photo. Il s’est spécialisé dans la photographie sous-marine. (Gilad Kavalerchik)

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