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22h23 : Le président chinois Xi Jinping entame demain une visite d'Etat en Russie, un voyage "pour la paix" selon Pékin qui cherche à jouer le médiateur dans la guerre menée par Vladimir Poutine en Ukraine. Ce séjour de trois jours chez le voisin russe, important partenaire diplomatique et économique de la Chine, est le premier de Xi Jinping depuis près de quatre ans.
22h04 : Vladimir Poutine a toutefois insisté sur la reconnaissance par Kiev de "nouvelles réalités géopolitiques", à savoir l'annexion l'automne dernier de quatre régions ukrainiennes, ainsi que celle de la Crimée en 2014. "Malheureusement, des ultimatums à l'égard de la Russie témoignent que (leurs auteurs, ndlr) sont loin de ces réalités et n'ont pas l'intérêt à chercher une solution", a-t-il affirmé.
21h59 : Dans un article écrit pour un journal chinois et publié par le Kremlin, Vladimir Poutine s'est dit "reconnaissant" à la Chine pour sa position "équilibrée" à l'égard des "évènements en Ukraine", pour sa "compréhension de leur préhistoire et leurs vraies raisons". "La Russie est ouverte à un règlement de la crise ukrainienne par des moyens politico-diplomatiques", a assuré le dirigeant russe.
21h50 : Le président russe Vladimir Poutine salue "la volonté de la Chine de jouer un rôle constructif dans le règlement" du conflit en Ukraine.
20h15 : L'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes a été prolongé. Le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric, a salué un agrément "essentiel pour la sécurité alimentaire mondiale, en particulier pour les pays en développement". Franceinfo vous explique cette prolongation était primordiale.
15h57 : L'initiative "Tribunal 4 Putin" (Un tribunal pour Poutine), qui réunit des organisations enquêtant sur des crimes de guerre commis par les forces russes en Ukraine, a également réagi à ce mandat d'arrêt émis par la CPI contre le président russe. "Cette décision est un événement extraordinaire pour la justice pénale internationale, car c'est la première fois qu'un chef d'État membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU et disposant de l'un des plus grands arsenaux nucléaires au monde est accusé d'un crime international."
15h59 : Courrier international revient aujourd'hui sur les réactions ukrainiennes après le mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président russe Vladimir Poutine. "Pour ceux qui pensaient que tout lui était possible. Qu’il s’en sortirait. Qu’après, il parviendrait à négocier. Que ça se réglerait. Non. Il ne va pas s’en sortir", réagit ainsi l'éditorialiste Serhiy Vyssotskiy, du journal ukrainien Vissoky Zamok.
14h51 : Les autorités ukrainiennes de Marioupol dénoncent à leur tour la visite du président russe, Vladimir Poutine, dans la cité portuaire. "Le criminel international Poutine a visité la ville de Marioupol occupée" de nuit, "probablement pour ne pas voir à la lumière du jour la ville tuée par sa 'libération'", ont-elles déclaré.
13h35 : "Comme s'il était un voleur, Poutine a visité la ville ukrainienne de Marioupol, en s'abritant derrière la nuit", a réagi le ministère ukrainien de la Défense, après la visite du président russe dans la cité portuaire ravagée par les bombardements. "La nuit lui permet de mettre l'accent sur ce qu'il veut montrer, et maintient la ville que son armée a totalement détruite et ses quelques habitants qui ont survécu à l'abri des regards indiscrets", fustige le ministère.
11h43 : @Candide : l'Observatoire des bombes à sous-munitions, cité par les Nations unies, évoque une "utilisation massive d’armes à sous-munitions par la Russie" en Ukraine au premier semestre 2022. Ces armes ont également été utilisés "à plusieurs reprises" par les forces ukrainiennes, précise l'Observatoire.
11h40 : Bonjour @Candide, vous faites référence aux annonces du chef de l'administration militaire de la région de Donetsk, Pavlo Kyrylenko, qui a fait état de deux morts et de dix blessés dans des frappes russes avec "des armes à sous-munitions" à Kramatorsk hier. Comme l'explique l'ONU, la Convention d'Oslo, entrée en vigueur en 2010, "interdit l'utilisation, la production, le transfert et le stockage des sous-munitions".
Néanmoins, "ni la Russie ni l’Ukraine n’ont adhéré à la convention interdisant ces armes", précise-t-elle.
11h39 : Bonjour FI, aucun traité international n'interdit l'utilisation d'armes à sous-munitions ?
11h32 : Selon le chef de la région nommé par Moscou, il s'agit d'une mesure temporaire "jusqu'à ce que la ville de Zaporijjia soit occupée par la Russie", précise le ministère de la Défense britannique. Pour rappel, Zaporijjia est l'une des quatre régions que Moscou a annoncé avoir annexé fin septembre, même si les forces russes ne contrôlaient qu'une partie des territoires ukrainiens concernés.
11h29 : Dans son dernier point sur la situation en Ukraine, le ministère de la Défense britannique souligne que les autorités locales dans la partie occupée de la région de Zaporijjia (Ukraine) ont décidé de faire de Melitopol la capitale régionale. Cette ville fait partie de la zone occupée par les forces russes dans la région.
09h59 : La ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, réagit au mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre Vladimir Poutine. Il s'agit d'une décision "extrêmement importante car elle signifie que tout responsable de crime de guerre ou de crime contre l'humanité devra rendre des comptes, quel que soit son statut ou son rang", a déclaré la ministre au Journal du Dimanche (édition abonnés).
09h53 : Selon le chef de l'administration militaire de la région de Donetsk Pavlo Kyrylenko, deux civils ont été tués et dix ont été blessés par des frappes russes avec "des armes à sous-munitions", hier après-midi à Kramatorsk. Ces frappes ont notamment touché une dizaine d'immeubles résidentiels et deux voitures, a-t-il affirmé.