La jeunesse afghane, du moins celle qui est formée aux standards internationaux, rêve d'un pays apaisé, ouvert à l'Occident. Dans deux ans, les troupes de l'Otan quittent le pays, et certains craignent que le pays replonge dans le chaos. Mais l'Afghanistan n'a pas tourné la page d'une société régie par le clanisme et la tradition.
A l'image de Alka Sadat, réalisatrice, toute une jeunesse afghane rêve d'un futur ouvert et démocratique, loin de la doctrine des talibans. (AFP/Joris Fioritidt)
Malgré les attentats, les intimidations, la violence quasi permanente, ils croient en un Afghanistan apaisé. Un pays qui passera le cap du départ des forces de l'Otan, prévu dans deux ans, sans retomber dans le cercle infernal de la guerre civile.
Ces jeunes sont diplômés, artistes, entrepreneurs, journalistes, formés à l'occidentale, ils se sont investis dans leur pays. Un choix que ne partagent pas certains qui préfèrent émigrer.
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