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découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)La Chine a connu un nouvel épisode de pollution sévère en début de semaine, alors que la capitale indienne est aussi noyée sous un brouillard de particules fines.
L'annonce a fait son effet au troisième jour de la COP21 : la Chine a fait part, mercredi 2 décembre, de son intention de réduire de 60% les rejets des "principaux polluants" de ses centrales au charbon d'ici 2020. Mais, plus que les négociations de Paris, c'est le mécontentement de ses citoyens qui a poussé le gouvernement chinois à réagir : Pékin et le nord de la Chine ont connu, alors même que débutait la conférence sur le climat, un sévère épisode de pollution.
New Delhi, la capitale indienne, étouffe aussi sous un brouillard persistant, alors que l'Inde est perçue comme l'un des pays les plus réticents à prendre des mesures drastiques contre le réchauffement climatique. Ajay Mathur, porte-parole de la délégation indienne à la COP21, a cependant montré de légers signes d'inflexion mercredi, souligne la BBC. L'Inde serait ainsi prête à moins recourir aux centrales à charbon si les pays développés consentaient aux efforts financiers nécessaires à sa transition énergétique.
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