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Économie : la banque du futur

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Économie : la banque du futur
Économie : la banque du futur Économie : la banque du futur (FRANCE 2)
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De nouvelles banques en ligne viennent bousculer les pratiques des clients de banques. Mais ces services en ligne, s'ils sont moins chers, proposent aussi moins de possibilités.

Ouvrir un compte courant en quelques clics, depuis votre smartphone ou votre tablette, c'est la formule des néo-banques. Compte Nickel, N26, C-Zam ou bientôt Orange Banque, ces entreprises veulent révolutionner le système bancaire avec des prix cassés. Services uniquement sur internet ou établissements traditionnels, les consommateurs sont partagés.

Des services limités

Revolut, une entreprise britannique vient tout juste de se lancer dans l'Hexagone avec comme particularité, un seul représentant employé en France. Pas de bureaux, des coûts réduits au maximum, ce sont les principales recettes des néo-banques. Pour gagner de l'argent, l'entreprise se rémunère chez les commerçants. Lorsqu'un client passe en caisse, le magasin verse une commission. Les néo-banques en récupèrent une partie. Mais l'argent des clients est bel et bien stocké dans des banques classiques. Cela fixe la limite de ces banques. Les services proposés, crédit, politique de découvert, sont soit impossibles, soit très flous.

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