Jeux olympiques : avant l’or, il y a les contrats signés avec les sponsors

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Jeux olympiques : avant l’or, il y a les contrats signés avec les sponsors
Article rédigé par France 2 - J. Lonchampt, O. Gardette, A. Beruel, N. Gaby, M. Bitton
France Télévisions
Jusqu’aux Jeux olympiques, France 2 suit le quotidien des athlètes de l’Insep. Un parcours qui est également jalonné de rendez-vous avec des sponsors, personnages essentiels au développement de la carrière des sportifs.

Avant de penser à l’or, les sportifs doivent souvent négocier l’argent. Au siège parisien d’une des plus grandes marques de sport au monde, Koumba Larroque est une invitée choyée. Pour elle, son sponsor déballe le grand jeu. Pour s’attacher l’image de la championne déjà qualifiée pour les Jeux olympiques, l’équipementier a su avoir les arguments financiers. Entre les deux parties, un contrat important dont le montant est resté confidentiel.

6 000 euros par an pour l’escrimeur Eliott Bibi

Viser les bons associés pour s’assurer un salaire. Eliott Bibi, sabreur de l’équipe de France d’escrime s’est engagé lui, dans la police. "Je pense que je manie un peu mieux le sabre", reconnaît-il. Contre 1 500 euros par mois, il participe à plusieurs entraînements musclés et à une dizaine de journées de sensibilisation auprès du public.  Avec ses trois partenaires comme sa ville de naissance et un fournisseur d’électricité, l’escrimeur touche 6 000 euros par an  et reçoit des équipements gratuitement. Mais le coup de pouce ne s’arrête pas là, il bénéficie également d’une chambre à l’internat de l’Insep en pension complète. Il paie seulement 10 % du prix total. Le reste est pris en charge par la Fédération française d’escrime. 

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