Paris 2024 : la deuxième vie des sites olympiques

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Paris 2024 : la deuxième vie des sites olympiques
Paris 2024 : la deuxième vie des sites olympiques Paris 2024 : la deuxième vie des sites olympiques (France 2)
Article rédigé par France 2 - E. Huit, F. Guinle, F. Pelé, France 3 Grenoble
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Deux semaines après la fin des jeux de Paris 2024, plusieurs infrastructures qui ont accueilli les milliers d'athlètes, les journalistes et les spectateurs, entament aujourd’hui une seconde vie. Un peu partout en France, les candidatures se bousculent.

Un bassin olympique éphémère et réutilisable : c’était la promesse de la piscine des Jeux de Paris. Livrée en kits et entièrement démontable, elle est convoitée aujourd’hui par plusieurs villes françaises, notamment Toulouse (Haute-Garonne), le premier club de Léon Marchand, où s’est formé le quadruple champion olympique. "Ce serait vraiment un bon retour des choses, (…) une reconnaissance", estime Michel Coloma, le directeur général du club des Dauphins du TOEC.

Le bassin olympique, un gain financier

Le gain serait aussi financier pour le club du TOEC, qui prévoit de s’étendre d’ici 2027 : "environ deux millions d’euros d’économies", selon Michel Coloma. Le projet est soutenu par Léon Marchand, qui co-signe la candidature. Le club est en concurrence avec la ville de Lille (Nord).

Le skate-park des épreuves de BMX freestyle, site en kits de 1 200 m², vient quant à lui d’arriver en Haute-Savoie, en don de la fédération de cyclisme à la commune de Cluses, très investie dans le développement de la discipline. Les décors de la cérémonie d’ouverture sont également prisés par les mairies. 

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