Degenkolb, la guerre Hamilton-Rosberg, Ibrahimovic, PSG, OM, le bulletin de notes du week-end
Félicitations du jury : John Degenkolb
Longtemps cette saison, l'OM a été encensé. Et à raison. Car l'OM, avec son maître Marcelo Bielsa, proposait du jeu. Et gagnait. Longtemps les Olympiens ont été leaders de Ligue 1 et pensaient se mêler à la course au titre. C'était avant les 30e et 31e journées où ils ont perdu deux fois de suite pour la première fois de la saison. Face au PSG et contre Bordeaux. Face aux Girondins, comme souvent l'OM a dominé, a eu les occasions, mais l'OM a perdu. Et a trouvé une nouvelle fois l'occasion de se plaindre de l'arbitrage de Bartolomeu Varela. A raison cette fois. Après Lyon et le but refusé à Ocampos, Paris et la main - collée au corps - non sifflée de Marquinhos, cette fois c'est la faute - bien réelle - de Pallois dans la surface sur Romain Alessandrini que l'arbitre ne sifflait pas. L'OM a encore crié à l'injustice. Mais cette fois personne ne sera suspendu pour des insultes. Toutefois, l'OM perd des points précieux dans la course au titre et les erreurs d'arbitrage commencent à coûter cher aux Phocéens.
Trop bavards : Nico Rosberg et Lewis Hamitlon
Sur la piste du troisième Grand Prix de la saison en Chine, Lewis Hamilton a été le plus fort. Il a devancé son coéquipier chez Mercedes Nico Rosberg et Sebastian Vettel. Mais en conférence de presse, la joie du Britannique a vite fait place à une ambiance beaucoup moins chaleureuse entre les deux Flèches d'Argent. L'Allemand a reproché à son coéquipier son comportement au volant, l'accusant d'avoir sciemment ralenti offrant ainsi à Sebastian Vettel une opportunité de le dépasser. Ce à quoi Lewis Hamilton a répondun cinglant : "ce n'est pas mon boulot de gérer la course de Nico". Ambiance, ambiance. La saison risque d'être longue chez Mercedes si les différends ne sont pas réglés.
Expulsion définitive : Emir Spahic
L'ancien Montpellierain n'était pas réputé pour être un enfant de choeur sur le terrain. Défenseur central parfois à la limite, Emir Spahic a complètement dépassé les bornes la semaine dernière lors d'une rencontre avec son club de Leverkusen en demi-finale de Coupe d'Allemagne contre le Bayern Munich. Il a pris à parti un stadier et lui a asséné des coups. Un comportement inacceptable qui lui a valu un licenciement mérité.
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L'hommage de la classe : Patrice Dominguez
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