Paris 2024 : "L’occasion était trop belle de jeter un coup d’oeil dans le rétroviseur", confie Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire "1924, le Paris des Jeux olympiques"

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Paris 2024 : "L’occasion était trop belle de jeter un coup d’oeil dans le rétroviseur", confie Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire "1924, le Paris des Jeux olympiques"
Paris 2024 : "L’occasion était trop belle de jeter un coup d’oeil dans le rétroviseur", confie Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire "1924, le Paris des Jeux olympiques" Paris 2024 : "L’occasion était trop belle de jeter un coup d’oeil dans le rétroviseur", confie Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire "1924, le Paris des Jeux olympiques" (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Il y a 100 ans, les gens plongeaient joyeusement dans la Seine pendant les Jeux olympiques. Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire "1924, le Paris des Jeux olympiques", raconte sur le plateau du 19/20 info l’épopée des derniers Jeux olympiques organisés dans la capitale.

"L’idée est d’abord venue des équipes de Gaumont-Pathé Archives. Ils ont conservé toutes les images des épreuves sportives de ces Jeux, mais ils savaient aussi qu’ils avaient beaucoup de pépites", se souvient Marie-Laurence Rincé, réalisatrice du documentaire 1924, le Paris des Jeux olympiques. "L’occasion était trop belle à 100 ans d’intervalle de jeter un coup d'œil dans le rétroviseur", poursuit-elle.  

En 1924, des tickets qui augmentent et une crise du logement 

Les Jeux olympiques d’il y a 100 ans partagent les mêmes polémiques que ceux qui seront organisés en 2024. Pour aller au stade de Colombes, à 8 km de la capitale, il fallait prendre le train. "Le prix du ticket a été multiplié par trois", précise Marie-Laurence Rincé. "Certains hôteliers pas très scrupuleux mettaient à la porte leurs locataires étudiants", indique-t-elle.  

Deux innovations ont aussi vu le jour : le premier Village olympique, installé près du stade de Colombes, et la première retransmission en direct des épreuves à la radio. La place des femmes est aussi abordée : elles étaient "135 sur 3000 athlètes", et restaient "cantonnées à certains sports", certains étant jugés "trop violents" pour elles.  

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