: Vidéo La liberté retrouvée de cyclistes afghanes, empêchées de pratiquer leur sport dans leur pays par les talibans
Ce grand format Stade 2 vous emmène à la rencontre de cinq cyclistes afghanes, réfugiées en Italie pour poursuivre leur entraînement, loin des talibans.
Pour leur sécurité, elles ont témoigné sous pseudonymes auprès des équipes de Stade 2. Cinq jeunes femmes, espoirs afghans de cyclisme sur route, ont quitté leur pays pour poursuivre leurs rêves. Depuis l'arrivée des talibans, leur pratique sportive est devenue prohibée. Désormais, c'est en Italie qu'elles enchaînent les cols et avalent les kilomètres d'un bon coup de pédale.
Un nouveau départ
Depuis le 14 août, les coureuses ont posé les première briques de leur nouvelle vie avec l'aide des associations de cyclisme et d'aide au migrants. Leur quotidien est rythmé par les entraînements, les moments conviviaux et la recherche de sponsors pour financer leur pratique.
Mais le souvenir du départ, précipité, n'est jamais loin. A 18 ans, elles ont quitté l'Afghanistan, leur amis et leur famille pour poursuivre leurs ambitions sportives. C'est Alessandra Capelotto, championne du monde de cyclisme sur route 1997 et membre de l'association Road to equity qui a chapeauté leur départ, avec l'accord du gouvernement italien. Un choix difficile pour ces jeunes femmes, qui revendiquent leur liberté de sportive, coûte que coûte.
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