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L'ancien président de la FIA Max Mosley craint le naufrage économique d'autres écuries

L'ex-président britannique de la FIA Max Mosley redoute que d'autres écuries de F1, à l'image de Caterham et Marussia, ne périclitent à leur tour en raison de situations économiques délicates. Il plaide pour une répartition "plus équitable des moyens d'un pointde vue sportif".
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
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Max Mosley.  (PATRICK HERTZOG / AFP)

"La compétition n'est plus équitable, assure ainsi l'ancien dirigeant de 74 ans. Le gros problème, c'est que les grosses écuries ont énormément plus de  moyens que des équipes comme Caterham ou Marussia. Et à la fin, ces formations  sont contraintes d'abandonner. Et elles pourraient même ne pas être les  dernières". "D'un point de vue sportif, les moyens devraient être équitablement  répartis et ensuite on laisse les équipes avoir autant de sponsors qu'elles le  souhaite. Une équipe comme Ferrari aura toujours plus de sponsors que Marussia. Mais si elles ont les mêmes moyens financiers, elles commencent toutes sur un  pied d'égalité. Surtout si l'on limite le montant des dépenses autorisées",  ajoute-t-il encore. 

Caterham et Marussia renoncent à deux GP

Deux écuries de Formule 1 de fond de grille, Caterham, sous administration  judiciaire depuis la semaine dernière, et Marussia, très secouée par l'accident  de Jules Bianchi, ne participeront pas aux Grands Prix des Etats-Unis et du  Brésil, a annoncé lundi le site du magazine britannique Autosport. Cette situation est tout sauf une surprise, car les difficultés financières  de Caterham et Marussia, ainsi que de l'écurie suisse Sauber, sont connues depuis plusieurs mois.

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