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Vidéo Paralympiques 2022 : "Rien ne pouvait m’atteindre aujourd’hui", savoure Benjamin Daviet

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Durée de la vidéo : 3 min
Champion paralympique du 12.5km dans la catégorie "debout", Benjamin Daviet a su se ressaisir après des premiers résultats compliqués ! Titré sur le para ski de fond, le Français a réalisé une énorme course aujourd'hui avec un sans faute sur le pas de tir ! Le champion paralympique est revenu sur sa course et sur ses sensations.
Para biathlon (H) - Benjamin Daviet : "C'est la course parfaite" Champion paralympique du 12.5km dans la catégorie "debout", Benjamin Daviet a su se ressaisir après des premiers résultats compliqués ! Titré sur le para ski de fond, le Français a réalisé une énorme course aujourd'hui avec un sans faute sur le pas de tir ! Le champion paralympique est revenu sur sa course et sur ses sensations.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport

Après son titre en ski de fond dans la discipline du sprint, Benjamin Daviet a survolé vendredi le biathlon longue distance.

Après des débuts compliqués, Benjamin Daviet, le porte-drapeau tricolore lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques de Pékin 2022, a passé un cap. Après son titre en ski de fond, il a écrasé la concurrence vendredi 11 mars sur le 12,5 kilomètres en biathlon dans la catégorie debout : "C’est la course parfaite, déjà je fais des réglages vraiment au top avant la course, a-t-il réagi au micro de France Télévisions. J’étais vraiment en confiance, j’ai pu faire des réglages dans un vent qui était beaucoup plus fort. On savait donc la tendance de clic qu’il fallait que je mette pour me régler au cas où j’arrivais sur le pas de tir avec du vent. Ça fait du bien de gagner cette course parce que c’était la seule course de biathlon que je n’avais pas gagné dans ma carrière aux Jeux paralympiques."

"Vraiment des skis de folie"

Benjamin Daviet l'assure, ce sacre a été un déclic au niveau du mental."Il y avait peut-être un peu de pression sur les premières courses. Je remercie aussi les techniciens. On avait vraiment des skis de folie. J’avais l'impression de voler sur les skis, d’être intouchable et je savais que, derrière, si je faisais le job sur la carabine, ça allait passer."

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