Cet article date de plus de dix ans.

Landreau : "c'est fabuleux"

"C'est fabuleux de vivre ce que je vis", a réagi le gardien bastiais Mickaël Landreau , qui a joué mercredi son 603e match de Ligue 1 lors de la 16e journée contre Ajaccio (1-1), battant ainsi le record du nombre de rencontres de championnat de France disputées, même s'il est dit "déçu" du résultat final d'un match que Bastia maîtrisait.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1 min
Mickaël Landreau, lors de sa dernière saison de joueur à Bastia

Que vous inspire ce record ?
Mickaël Landreau
: "C'est fabuleux de vivre ce que je vis et de pouvoir le partager. Je  portais un maillot spécial qui représente beaucoup. Même si le match était à  huis clos, je vis et je me prépare de la même façon pour tous les matches. Je  me concentre et je fais au mieux pour être le plus performant. Mais le record,  je n'y ai pas pensé pendant le match. En plus avec le contexte, il fallait  multiplier la débauche d'énergie. Mais étant donné les sollicitations durant la  semaine autour de ce record, je sens bien ce que ça représente, c'est énorme."

Depuis quand aviez-vous ce record en tête ?
M L
: "Depuis mon 500e match avec Lille. Je savais que physiquement je  tiendrais et que psychologiquement je l'avais en moi.

De quoi êtes-vous le plus fier ?
M
L : De tout le travail accompli, de la régularité au plus haut niveau, mais  le plaisir n'est beau que quand on le partage. Il y a plein d'images  incroyables. Le moment dimanche avec Jean-Luc Ettori (2e au classement avec 602  matches en championnat et qui est venu échauffer Landreau , ndlr) était plein  d'émotion."

Quelle est votre réaction première après ce match du record ?
M L
: "Ma première impression, c'est la déception. On avait le match en main,  je reste sur ma faim. Je prends un but alors qu'on avait l'opportunité de  gagner 2 ou 3 à 0. Mais les matches s'enchaînent vite et dès dimanche on reçoit  Lyon.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.