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DIAPORAMA. Revivez les moments les plus marquants de la Coupe du monde au Brésil

Article rédigé par Fabien Magnenou
France Télévisions
Publié Mis à jour

L'Allemagne a glané son quatrième titre mondial, dimanche 13 juillet à Rio de Janeiro. Francetv info revient en images sur les plus grands moments de la compétition.

L'attaquant brésilien Fred simule une faute et obtient un pénalty après une simulation, face à la Croatie, à Sao Paulo. C'est la première polémique du tournoi sur l'arbitrage. ( PAULO WHITAKER / REUTERS)
L'italien Giorgio Chiellini se plaint d'une morsure pendant que l'Uruguayen Luis Suarez se tient les dents, le 24 juin à Natal. Le geste fait le tour du monde et l'attaquant est suspendu quatre mois des terrains. (TONY GENTILE / REUTERS)
Avec le but de Mathieu Valbuena contre la Suisse, le 20 juin à Salvador, la France est plus que jamais en selle pour les huitièmes. (DIMITAR DILKOFF / AFP)
La Colombie s'illustre pour ses danses de célébration, comme ici après le but du prodige James Rodriguez contre l'Uruguay, le 28 juin à Rio. Ce dernier termine meilleur buteur de la compétition avec six réalisations. (FABRIZIO BENSCH / POOL / AFP)
En plein match contre la Croatie, le Camerounais Pierre Webo doit séparer ses coéquipiers Benjamin Moukandjo et Benoît Assou-Ekotto, le 18 juin à Manaus (Brésil). Leur Mondial est un fiasco. (MURAD SEZER / REUTERS)
Pour la première fois en Coupe du monde, les arbitres utilisent de la mousse pour placer les murs sur coup franc. Ici, lors du march entre la Grèce et la Côte d'Ivoire, le 24 juin à Fortaleza. (ISSOUF SANOGO / AFP)
Avec le Costa Rica, l'Algérie est l'autre grande surprise du Mondial. A leur retour à Alger, les Fennecs sont acclamés par leurs supporters, le 2 juillet.  (AMER OUALI / AFP)
Rares sont les dirigeants à avoir autant mouillé le maillot. Luis Guillermo Solis, président du Costa Rica, célèbre la qualification de son pays, le 29 juin à San Jose, aux dépens de la Grèce. (EZEQUIEL BECERRA / AFP)
Pendant toute la compétition, les Brésiliens sont à fleur de peau. En témoigne le visage transfiguré de David Luiz, buteur contre la Colombie, le 4 juillet 2014 à Fortaleza. (VANDERLEI ALMEIDA / AFP)
Une scène aérienne captée pendant la cérémonie d'ouverture, le 12 juin à Sao Paulo. (IVAN ALVARADO / REUTERS)
L'attaquant Neymar reste à terre après un choc avec le défenseur colombien Juan Zuniga, le 4 juillet à Fortaleza. Le Brésilien est forfait pour le reste du tournoi et le pays sombre dans la déprime. (FABRIZIO BENSCH / AFP)
Michel Platini et Sepp Blatter, grands rivaux et probables candidats à la prochaine présidence de la FIFA, assistent à la rencontre entre l'Allemagne et le Portugal, le 16 juin à Salvador. (FABRICE COFFRINI / AFP)
La France est éliminée en quarts par l'Allemagne (1-0), le 4 juillet à Rio. Blaise Matuidi tente de consoler Antoine Griezmann, une image qui finit de réconcilier les Français avec les Bleus. (FRANCOIS XAVIER MARIT / POOL / AFP)
Le Néerlandais Robin van Persie s'envole face à l'Espagne et inscrit l'un des plus beaux buts de la compétition, le 13 juin à Salvador. (FABRIZIO BENSCH / REUTERS)
L'image de cet homme ému aux larmes a fait le tour du monde, après la défaite du Brésil face à l'Allemagne (7-1), le 8 juillet à Belo Horizonte. Clovis Fernandes incarne à lui seul la déception du pays. (ALEXEY FILIPPOV / RIA NOVOSTI / AFP)
L'Argentin Lionel Messi célèbre son but inscrit à la toute fin du match contre l'Iran, le 21 juin à Belo Horizonte. Malgré les critiques, la "Pulga" est élue meilleur joueur du tournoi. (LEONHARD FOEGER / REUTERS)
L'Argentin Javier Mascherano barre la route au Néerlandais Arjen Robben, à la toute fin du temps réglementaire de la demi-finale, le 9 juillet à Sao Paulo. C'est le tournant de la demi-finale. (FABRIZIO BENSCH / REUTERS)
C'est le coup de bluff gagnant du tournoi. Le gardien néerlandais Tim Krul entre à la place de Jasper Cillessen, avant la séance de tirs au but contre le Costa Rica, le 5 juillet à Salvador. (DAMIEN MEYER / AFP)
Le gardien allemand Manuel Neuer tombe dans les bras d'Angela Merkel, dimanche 13 juillet à Rio. La chancelière s'est rendue à deux reprises au Brésil. (KAI PFAFFENBACH / REUTERS)
Le gardien américain Tim Howard sauve son camp face à Vincent Kompany. La Belgique se qualifie (2-1 a.p.) malgré ses 16 arrêts dans le match, nouveau record de la compétition. ( YVES HERMAN / REUTERS)
L'entraîneur mexicain Miguel Herrera a fait le bonheur des réseaux sociaux, pour ses coups de sang sur le bord du terrain, comme ici, le 29 juin contre les Pays-Bas, à Fortaleza. (DOMINIC EBENBICHLER / REUTERS)
Le défenseur allemand Benedikt Höwedes brandit le trophée avec ses coéquipiers, dimanche 13 juillet à Rio. Favorite en finale, l'Allemagne a eu peur face à l'Argentine. (PATRIK STOLLARZ / AFP)
Le milieu équatorien Christian Noboa et son filet ensanglanté sur le tête, le 25 juin à Rio, face à la France. Le Suisse Steve Von Bergen – blessé à l'œil – et le Nigérian Ogenyi Onazi – touché à la cheville – peuvent témoigner du jeu rugueux des Bleus. (ODD ANDERSEN / AFP)

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