Avant la finale, un premier bilan du Mondial
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Les révélations :
_ pour Vincent Pellegrini : l'équipe d'Uruguay, que personne n'attendait en demi-finale, et son attaquant vedette Diego Forlan (en lice pour le titre de meilleur joueur de la compétition). Sans oublier le Ghana, éliminé seulement en quart de finale, et aux tirs au but (par... l'Uruguay !)-
Les désillusions :
Elles sont nombreuses, à écouter Jacques Vendroux : le Brésil, que l'on voyait volontiers, avant le début de la compétition, ajouter une étoile à son maillot. Mais aussi l'Argentine, l'Angleterre... et bien sûr la France et l'Italie. Les deux finalistes du Mondial 2006 ont été éliminés dès le premier tour...
Côté joueurs, déception aussi pour l'Anglais Rooney, le Portugais Ronaldo, le Camerounais Eto'o ou encore l'Argentin Messi. -
Le bon point :
_ L'organisation. Malgré les inquiétudes d'avant-Mondial, l'Afrique du Sud a réalisé un quasi sans-faute, souligne Vincent Pellegrini. -
Le mauvais point :
_ L'omniprésence de la vuvuzela : après 64 matchs rythmés par le bruit incessant des trompettes sud-africaines, "les ORL vont avoir du travail", estime Cécilia Arbona. -
La polémique :
_ Les erreurs d'arbitrage. La FIFA va du coup ré-examiner l'éventualité du recours à la vidéo. Mais, prévient Jacques Vendroux, "cela ne réglera pas tous les problèmes". On pourrait également se diriger vers un arbitrage à 5. - Le pronostic :
_ Espagne ou Pays-Bas ? Pour Cécilia Arbona et Jacques Vendroux, pas de doute : les Espagnols brandiront la Coupe, dimanche soir. Vincent Pellegrini, plus prudent, ne fait "jamais de pronostic". Mais considère que "ce sont les deux équipes qui ont pratiqué le football collectif le plus accompli de cette Coupe du Monde".
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