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Coulisses : les secrets du Stade de France

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Coulisses : les secrets du Stade de France
Coulisses : les secrets du Stade de France Coulisses : les secrets du Stade de France (France 3)
Article rédigé par France 3
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France 3

France 3 nous emmène dans les coulisses du Stade de France, le plus grand lieu de spectacles et de rencontres sportives. 80 000 spectateurs dans les tribunes, et à chaque fois, le même défi d'organisation et de sécurité.

Les soirs de matchs au Stade de France se joue un spectacle à gros moyens avec des stars du ballon, un public enflammé, et dans l'ombre, une armée de policiers et des centaines de bénévoles à l'âme de supporters. Plongée avec eux dans les coulisses de l'arène mythique, un jour de France-Angleterre. Un match des Bleus au Stade de France, c'est plus de 80 000 supporters, soit l'équivalent de la population de Pau (Pyrénées-Atlantiques) à protéger. C'est la mission de Laurent Simonin. Pour ce match, le responsable de la sécurité a positionné des tireurs d'élite sur les toits et mobilisé 300 policiers lourdement armés. Indispensable depuis les attentats de 2015. Pour ce grand flic, le 13 novembre 2015 a été une prise de conscience. Toute la sécurité du Stade de France a été renforcée.

L'organisation, un match avant le match

À quelques mètres de là, sous terre, c'est l'un des endroits mythiques du Stade de France : le vestiaire des Bleus sur lequel veille Hervé Didelot. Avant chaque match, pendant une heure, l'intendant prépare 400 kilos d'équipements. Une mise en place minutieuse et une obligation : ne rien oublier. Le vrai match, lui, se rapproche. Dans les tribunes, la pression monte. Chloé et Stéphane n'ont pas le temps de souffler. Au stade, ce jeune couple est bénévole pour placer les spectateurs dans les travées. L'activité leur permet surtout de garder un œil sur le match. Le match est terminé. Le stade se vide en quelques minutes. C'est là qu'entre en jeu Anthony Stones. Il y a deux ans, on est allé chercher ce responsable des terrains chez lui, en Angleterre, pour son exigence. Avec son armée de jardiniers, il s'apprête à une longue nuit de travail. Objectif : que la pelouse soit parfaite dans deux semaines, lors du prochain match au Stade de France.

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