"Ils (Côte d'Ivoire et Angola, ndlr) sont protégés, tout le monde ne travaille pas dans les mêmes conditions, a déclaré le technicien. Certaines équipes font des trajets de 10 à 15 minutes pour s'entraîner et nous, on est obligés de faire une heure sur une route sinueuse pour faire une séance (à Luba à une cinquantaine de kilomètres de Malabo, ndlr)." "En arrivant (à Malabo, ndlr), on nous a donné un restaurant-bar pour dormir, ce n'était même pas un hôtel, a-t-il ajouté. Il n'y avait pas de salle video, de conférence. A chaque fois, c'est de l'improvisation. C'est ça la CAN."