Cet article date de plus de treize ans.

Une course longtemps en "stand by"

La situation est inchangée en tête de course depuis la violente sortie de piste de Mike Rockenfeller (Audi).A la mi-course, la dernière voiture de la firme allemande rescapée, pilotée par Benoît Treluyer (N.2) conserve toujours les rênes. Derrière, les trois lions de Peugeot (numéros 8, 9, 7) sont en embuscade. Si Audi domine en performances pures, la moindre consommation d'essence permet à la marque sochalienne de se maintenir à distance.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Petit moment de calme pendant les 24 Heures du Mans

Une nouvelle interruption de 2h25
Les malheurs d’Audi ont continué durant la nuit, pénalisant dans leur sillage l’ensemble des équipages. Après les 65 minutes derrière la voiture de sécurité en début de course suite à la sortie de piste de McNish, l’accident de Mike Rockenfeller a neutralisé la compétition durant 2h25. Une longue période de non course qui a fortement ralenti le rythme de l’événement. Cela porte à 3h30 le temps passé derrière la safety car pendant la course. Première conséquence : les écarts relativement faibles entre les différents concurrents qui ont subi plusieurs regroupements.

Rosier, tête couronnée
Le jeune pilote français Fabien Rosier, pilote de la Norma, a reçu le prix Jean Rondeau. Cette distinction, du nom du manceau qui s’est imposé en 1980 à bord d’une voiture de sa propre conception, récompense la révélation française de l’année. A la mi-course, le natif de Granvil était toujours en lice.

Les soucis d’Oreca profitent à Pescarolo
La Peugeot numéro 10 a connu bien des déboires durant la nuit. Après avoir touché à l’avant droit Loïc Duval a dû rentrer à son stand. Il y est toujours immobilisé pour le moment. C’est le premier coup du sort pour l’écurie d’Hugues de Chaunac. Un imprévu qui profite à la LMP1 essence du Team Pescarolo, desormais cinquième.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.