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F1 : Charles Leclerc signe sa première pole position de la saison en Azerbaïdjan, devant Max Verstappen

Impérial, le pilote Ferrari a signé le meilleur temps de la séance de qualifications à Bakou, vendredi
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié Mis à jour
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Charles Leclerc en piste à Bakou, le 28 avril 2023. (XAVI BONILLA / AFP)

Ferrari regoûte aux joies de la pole position. Charles Leclerc a dominé la séance de qualifications du Grand Prix d'Azerbaïdjan, sur le circuit urbain de Bakou, vendredi 28 avril, pour s'adjuger sa première pole position cette saison. Pour cette première séance de qualification du vendredi pour le dimanche, le pilote monégasque a sorti un dernier tour exceptionnel en Q3 pour repousser ses adversaires. Il s'élancera en tête du Grand Prix, devant les Red Bull de Max Verstappen et de Sergio Pérez. 

Déjà auteur des deux dernières pole positions en Azerbaïdjan, Charles Leclerc a conservé sa mainmise à Bakou. En Q3, il a d’abord égalé au millième près le premier temps de Max Verstappen, avant d’aller chercher les centièmes qui ont fait la différence sur un dernier tour ultra rapide. "Je suis surpris, on a attaqué ce week-end en pensant que ce serait bien si on était devant Mercedes, et au final on est en pole !" a-t-il apprécié au micro de Mark Webber après la séance. 

Une deuxième ligne de coéquipiers

Repoussé au deuxième rang après avoir régné sur les essais libres, Max Verstappen pourra tout de même se consoler avec une première ligne inédite pour lui à Bakou, devant son coéquipier Sergio Pérez. En retrait et sorti de piste en Q3, Carlos Sainz accroche, lui, la 4e place. 

Fallait-il y voir un signe de la nervosité face au nouveau format du week-end ? La séance de qualification a en tout cas été très animée dans les rues de la capitale azérie, avec deux drapeaux rouges dès la Q1, qui a rapidement pris une forme de course à élimination. Aux dépens du malheureux Pierre Gasly, déjà plombé par un gros problème moteur en essais, et qui a tapé le mur. Il partira 19e. 

La fortune n’a pas plus souri à son coéquipier Esteban Ocon, pas dans le rythme des Mercedes et des McLaren, et éliminé en Q2. "Ce n’était pas la meilleure journée, on a eu quelques problèmes de fiabilité, on n'a pas pu rouler autant qu’on voulait [...] Il nous a manqué ce petit dixième pour passer en Q3, c’était serré", a-t-il regretté au micro de Canal+.

Les Français et tous les autres pilotes déçus auront peut-être l’occasion d’aller chercher quelques points lors de la journée sprint, samedi, avec une nouvelle séance de qualification le matin, effective pour la course sprint l’après-midi. Une première sous ce format.

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