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Londres, entre coups de cœur et coups de gueule

De notre séjour dans la capitale anglaise, riche en événements, restera le souvenir de JO d’une grande intensité et d’une beauté incroyable, malgré quelques petits "couacs" qui n’entachent pas le bilan globalement positif.
Article rédigé par Grégory Jouin
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
  (MIGUEL MEDINA / AFP)

On a aimé

-Les deux stars des JO, Michael Phelps et Usain Bolt, deux personnages charismatiques qui sont des vitrines exceptionnelles pour le sport

-L’engouement dans les stades, que ce soit dans les sports collectifs ou ailleurs. Mention spéciale au vélodrome (ambiance extraordinaire) et au stade olympique, plein comme un œuf dès le matin pour les qualifications.

-L’organisation impeccable des Anglais, souriants malgré les contraintes de sécurité qui obligeaient au contrôle systématique des sacs pour entrer dans les enceintes.

-La folie des Jamaïcains qui ont eu le bonheur de fêter le titre de Bolt sur 100 m la veille des 50 ans de l’indépendance du pays : la nuit à été chaude à Brick Lane.

-La majesté des sites (de Wimbledon à Wembley en passant par Greenwich Park).

On n’a pas aimé

-Le temps mitigé sur Londres. Hormis les quatre derniers jours, on n’avait vraiment pas l’impression d’être en été.

-Les distances entre les différents sites, et même dans le parc olympique, qui obligeaient à marcher longtemps avant d’atteindre son siège dans les tribunes ou sa place en zone mixte.

-Le peu d’ambiance à Londres même, hormis dans quelques endroits très localisés comme Hyde Park.

-La sévérité et la rectitude des bénévoles dans les zones mixtes : aucune négociation n’est possible pour pouvoir faire une interview dans un "box" parfois vide alors qu’on est 12 dans 2m2.

-Les quelques arrangements avec les règles –voire la tricherie dans certains cas- de quelques athlètes, notamment en cyclisme sur piste, canoë-kayak, et surtout en boxe.

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