Cet article date de plus d'un an.

Mort de Jane Birkin : les hommages affluent rue de Verneuil

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Mort de Jane Birkin : les hommages affluent rue de Verneuil
Mort de Jane Birkin : les hommages affluent rue de Verneuil Mort de Jane Birkin : les hommages affluent rue de Verneuil (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - M. Delpech
France Télévisions
À Paris, après l'annonce de la mort de l'artiste, de nombreux fans se sont rendus rue de Verneuil, dans le 7ème arrondissement. Un lieu culte qui a abrité, pendant 10 ans, l'idylle entre Jane Birkin et Serge Gainsbourg.

Malgré une carrière et une vie à succès en solo, ainsi que toutes ces chansons que l'on fredonne, difficile de dissocier Jane Birkin de Serge Gainsbourg. Ou l'inverse. Difficile, aussi, de les dissocier tous les deux de la rue de Verneuil à Paris (île-de-France). Et particulièrement le 5 bis, où le couple a vécu. Il était, dimanche 16 juillet, le lieu de rendez-vous des hommages. "Le rendez-vous des hommages pour des Parisiens très touchés, très émus", explique la journaliste Marion Delpech, en direct de la rue Verneuil. "Nous avons croisé Léonie, âgée de 23 ans, qui est venue déposer une bougie devant la porte d'entrée. Car pour elle, Jane symbolisait la femme libre mais aussi la mère de famille et l'artiste. En somme, le symbole de la femme que l'on aurait toutes rêvé d'être", poursuit-elle.

Un temple pour les fans

"Nous avons aussi croisé des touristes, comme un écrivain finlandais, qui nous a directement parlé du premier film français de Jane Birkin, 'La Piscine'. Cet hôtel particulier de la rue de Verneuil est mythique, parce que c'est ici qu'elle a partagé, pendant plus de 10 ans, sa vie avec Serge Gainsbourg. C'est donc tout naturellement que les gens sont venus y déposer des fleurs, des roses, des petites pancartes avec des mots très touchants, la remerciant, par exemple, pour le bonheur et la joie de vivre qu'elle a donné à la France. Des hommages qui devraient se poursuivre ici", conclut Marion Delpech.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.