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Vidéo La Fédération française de la lose célèbre les Français qui perdent

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Derrière la FFL se cache cinq amis fans de sport qui ont grandi dans une génération marquée par Séville en 1982 et qui n’a pas connu de vainqueurs à Roland-Garros ni au Tour de France. Mais ils se sont rendus au col de la Loze pour espérer potentiellement en voir une première.
VIDEO. La Fédération française de la lose célèbre les français qui perdent Derrière la FFL se cache cinq amis fans de sport qui ont grandi dans une génération marquée par Séville en 1982 et qui n’a pas connu de vainqueurs à Roland-Garros ni au Tour de France. Mais ils se sont rendus au col de la Loze pour espérer potentiellement en voir une première. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Derrière la FFL se cachent cinq amis fans de sport qui ont grandi dans une génération marquée par Séville en 1982 et qui n’a pas connu de vainqueurs à Roland-Garros ni au Tour de France. Mais ils se sont rendus au col de la Loze pour espérer potentiellement en voir une première.

Pour Louis et Antoine, deux des fondateurs de la FFL, la France sait perdre avec talent et panache. Pour cette raison, ces cinq copains ont décidé de créer un site satirique qui compile les meilleures défaites françaises dans le domaine du sport. Alors que leur génération n’a encore jamais connu de gagnant du Tour de France, ils se sont rendus au col de la Loze pour supporter les coureurs, apporter une ambiance chaleureuse et peut-être apercevoir le futur gagnant du Tour de France 2023.

“On est vivant que quand on a mal”

Pour eux, gagner est embêtant : “C'est chiant de gagner. Enfin, moi, je ne sais pas, supporter Vingegaard, ça m'emmerderait, supporter le Real Madrid, ça me ferait chier. On est vivant que quand on a mal. Et nous, on a souffert en tant que Français. Souffrir, c'est vivre”, indique Antoine. Sur place, les deux membres de la fédération sont reconnus : “C'est quand même dingue, de voir des FFL partout sur les routes. À chaque fois, ça nous surprend, ouais. C'est franchement très flatteur. On fait les beaux mais c'est assez perturbant, presque.” Prochaine étape : le col du Petit Ballon pour “rendre l'hommage le plus exceptionnel possible à Thibaut Pinot.

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