D’habitude, dès que le peloton du Tour de France grimpe, les bords de route sont bondés. Dimanche 30 août, ce n’était pas vraiment le cas.
Au cœur de l’arrière-pays niçois, dans les Alpes-Maritimes, le peloton du Tour de France a gagné les hauteurs, dimanche 30 août. Les coureurs ont été confrontés à une atmosphère à laquelle ils peinent encore à s’habituer. Si la caravane du Tour a distribué des cadeaux de circonstance, dans les cols, il y avait beaucoup moins de spectateurs.
“Cette année, c’est tristounet”
“On a de la place, on fait avec. Mais c’est génial, il y a une bonne ambiance malgré tout”, relativise un fan. Afin d’éviter tout rassemblement important, les voitures du public avaient été interdites dans certaines ascensions. Pour voir passer le tour, il fallait donc gravir des kilomètres à vélo ou à pied, sur des routes silencieuses. “Cette année, c’est tristounet”, confirme un marcheur. L’image est très éloignée de la clameur qui, l’année dernière encore, accompagnait le passage du peloton.
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