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En images
Les fans les plus allumés du Tour de France 2015
Publié le 26/07/2015 11:38
Mis à jour le 26/07/2015 11:38
Temps de lecture : 1min
Comme chaque année, ils ont hurlé, couru, frappé fort dans leurs mains et même parfois chuté. Les fans de vélo ont une nouvelle fois animé les bords de la course à l'occasion du Tour de France 2015, à grand renfort de déguisements et d'accessoires en tout genre.
Sur le bord de la route du Tour de France 2015 , on ne pouvait pas les rater. Alors que la course prend fin dimanche 26 juillet, francetv info compile les clichés des nombreux supporters extravagants sans doute aperçus par les coureurs et remarqués par les photographes. Les figures habituelles étaient présentes, à l'image de l'Allemand Dieter "Didi" Senft, alias El Diablo, ou encore du Vendéen Jojo le Coq.
De plus en plus nombreux, les zentaïs, ces combinaisons intégrales colorées, ont habillé les amateurs de vélo les plus motivés. A l'image de la course, qui s'est parfois animée de façon inattendue, des exhibitionnistes ont également surgi lors d'un virage, dévoilant une grande partie de leur anatomie, pour interpeller les coureurs. Au risque parfois de provoquer une réaction plutôt hostile de ces derniers.
C'est une des valeurs sures du fougueux supporter du Tour : le zentaï, ces combinaisons intégrales colorées qui permettent d'être remarqué en tout anonymat, comme ces quatre supporters français postés le 15 juillet entre Pau et Cauterets, lors de la 11e étape. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Lors de la deuxième étape, parti le 5 juillet d'Utrecht (Pays-Bas), ce n'est pas le vainqueur André Greipel qui a attiré tous les regards, mais ce cycliste amateur juché sur un flyboard, un jet-pack nautique. Personne ne pouvait le manquer, selon SportsGrid. (DE WAELE TIM / TDWSPORT SARL / AFP)
Les fans de cyclisme profitent aussi du Tour pour comparer leurs collections de souvenirs. Le 7 juillet, entre Seraing (Belgique) et Cambrai, Gerald en a époustouflé plus d'un avec ses 500 maillots de coureurs. ( ERIC GAILLARD / REUTERS)
En revanche, l'intensification de l'emploi de combinaison zentaï a parfois donné l'impression d'assister à un épisode des Télétubbies, comme le 23 juillet entre Gap et Saint-Jean-de-Maurienne. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Mettre son postérieur à nu est pratiqué assez fréquemment, mais certains transforment cette pratique au goût discutable en célébration de leur passion pour la Grande boucle, comme ces quatre fans sur le bord de la route du Tour, entre Pau et Cauterets, le 15 juillet 2015. (DE WAELE TIM / TDWSPORT SARL / AFP)
Il est de tous les tours de France depuis 1993. Le supporter allemand Diter "Didi" Senft, surnommé "El Diablo, s'est une nouvelle fois fait remarquer sur le bord de la route, le 11 juillet 2015, lors de la 8e étape du Tour, entre Rennes et Mûr-de-Bretagne. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Le style n'est pas forcément l'apanage principal du supporter de vélo. Malgré les 30 degrés qui régnaient le 5 juillet à Utrecht (Pays-Bas), ces fans ont tenu à porter leurs chaussettes aux couleurs du maillot jaune et du maillot à pois avec des tongs. (STIJN RADEMAKER / HOLLANDSE / SIPA)
Déguisement ou chic rétro ? Cette Néerlandaise acclamant les coureurs, à Utrecht le 5 juillet, avait pris ses précautions contre la chaleur qui régnait ce jour-là. (STEFANO RELLANDINI / REUTERS)
Pas toujours facile de trouver une bonne place pour admirer les coureurs. Le 22 juillet, lors de l'étape reliant Digne-les-Bains à Pra Loup, ce spectateur a trouvé la solution : une tyrolienne offrant un point de vue unique sur le peloton. (STEFANO RELLANDINI / REUTERS / X90016)
Une autre figure des fanatiques du Tour a encore répondu à l'appel de la Grande boucle. Comme chaque année depuis 11 ans, Jojo le coq, galinacé venu de Vendée, a acclamé les coureurs en hurlant "Cocorico" le 9 juillet, lors de l'étape reliant Abbeville au Havre. ( ERIC GAILLARD / REUTERS)
Non, cet homme qui pointe Thomas Voeckler du doigt n'était pas nu. Il portait seulement un slip couleur chair, alors que les coureurs arpentaient la 15e étape entre Mende et Valence, le 19 juillet. ( BENOIT TESSIER / REUTERS )
Il est évidemment interdit, et dangereux, de courir après les coureurs, même lorsqu'on est déguisé en Pamela Anderson. Ce fan de la blonde naïade s'est pourtant mis à la faute le 14 juillet, lors de la 10e étape entre Tarbes et La Pierre-Saint-Martin. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Les supporters déguisés sont une composante légendaire de la route du Tour. Et tant pis s'ils sont un peu dépareillés, comme ce moine et ce clown qui attendent le peloton entre Seraing (Belgique) et Cambrai (Nord), le 7 juillet 2015. (CITIZENSIDE/DENIS PREZAT / CITIZENSIDE.COM)
Certains supporters vont parfois trop loin, à l'image de ce jeune homme qui exibe son derrière aux coureurs, le 18 juillet, entre Rodez et Mende. Mais il faut aussi se méfier de la réaction des cyclistes : on a bien l'impression que le Tchèque Jan Barta n'a qu'une envie, viser le dit postérieur avec son bidon. (ERIC FEFERBERG / AFP)
Déguisée en cochon, le 10 juillet entre Livarot et fougères, Florence n'a pas vraiment acclamé les coureurs car elle attendait avec impatience... la voiture Cochonou, une des stars de la caravane. (ERIC GAILLARD / REUTERS)
Quelle meilleure galerie que la route du Tour ? Yves, peintre et fan de vélo, a croisé ses passions pour rendre hommage aux coureurs, le 15 juillet entre Pau et Cauterets. ( ERIC GAILLARD / REUTERS)
Prendre position sur le bord de la route de Tour, c'est aussi pouvoir revendiquer son identité régionale. Kouign-amman, cidre et bigouden, ces Bretons assis entre Rennes et Mûr-de-Bretagne, ont tout donné le 11 juillet 2015. ( BENOIT TESSIER / REUTERS )
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