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Pourquoi Novak Djokovic est surnommé "le Joker" ?

En ce mercredi, jour de sortie du "Joker", film très attendu avec Joaquin Phoenix, on était obligé de parler du "Djoker", avec un D. Depuis toutes ces années, c'est le surnom qui colle à la peau de Novak Djokovic. Un surnom bien sûr lié à son nom de famille, mais pas que...
Article rédigé par William Vuillez
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
 

Roger Federer est FedEx, Rafael Nadal le Taureau de Manacor et Novak Djokovic... le Djoker. Alors en ce mercredi 9 octobre, jour de sortie du dernier opus consacré au terrible méchant de Batman, on s'est replongé dans les origines de ce surnom, attribué au Serbe depuis toutes années. Un surnom choisi bien sûr par rapport à son nom de famille, mais surtout parce que le numéro 1 mondial a longtemps fait le show sur le court. 

"J'ai fait des imitations de beaucoup de joueurs sur les courts et je pense que c'est un peu ce qui m'a rendu célèbre (à l'époque). J'avais tendance à le faire souvent, puis je me suis rendu compte que certains joueurs le prenaient trop personnellement", raconte le Serbe en souriant. "Je ne le fais plus aujourd'hui en public... mais je le fais à la maison", plaisante-t-il lors d'une interview au média WIRED fin août. 

En effet, il y a quelques années, de nombreux joueurs ont eu droit à leur imitation de la part du Djoker, de Rafael Nadal à Maria Sharapova en passant par son ancien coach Boris Becker

L'art du déguisement 

En plus de ses talents d'imitateur, le Serbe n'a jamais caché sa passion du déguisement. Longtemps grimé en Maria Sharapova, avec une perruque blonde sur la tête, Djoko a souvent honoré Halloween fin octobre, au Masters 1000 de Bercy. C'est d'ailleurs avec un masque du Joker, son alter ego, qu'il était entré sur le court en 2011, un an plus tard c'était en Dark Vador. 

  (ARND WIEGMANN / X90184)

Aujourd'hui le Djoker est beaucoup plus sérieux. Son rang de numéro 1 mondial et de père de famille l'obligent à un peu plus de tenue. Pourtant il lui arrive encore de se laisser aller, comme après son sacre à l'Open d'Australie en janvier dernier, où il n'a pas pu s'empêcher de reprendre ce journaliste italien. 

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