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Vidéo "C'est un sentiment de liberté quand on est sur la ligne" : de la peur du vide à la highline, il raconte

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Pour affronter leur peur du vide, certains font des thérapies. Nathan Paulin, lui, marche sur une sangle accrochée à 300 mètres de haut.
VIDEO. "C'est un sentiment de liberté quand on est sur la ligne" : de la peur du vide à la highline, il raconte Pour affronter leur peur du vide, certains font des thérapies. Nathan Paulin, lui, marche sur une sangle accrochée à 300 mètres de haut. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Pour affronter leur peur du vide, certains font des thérapies. Nathan Paulin, lui, marche sur une sangle accrochée à 300 mètres de haut.

Nathan Paulin avait peur du vide quand il était petit. Aujourd'hui, à 25 ans, il marche sur une sangle accrochée entre deux falaises, à plus de 300 mètres de haut pour gagner sa vie. Il est l'un des seuls Français à vivre de cette pratique : la highline. "Ça m'a appris que si quelque chose vous faisait peur, si on se forçait un petit peu, on pouvait réussir à le faire et dans la vie en général, c'est pas mal parce que tu te dis 'J'ai pu apprivoiser le vide, il y a d'autres choses que je peux apprivoiser'", confie Nathan Paulin lequel trouve une véritable paix intérieure dans cette activité mêlant concentration intense et maîtrise du corps.

Élargir sa zone de confort

Nathan Paulin a développé ses propres techniques pour oublier sa peur du vide. "La technique pour aller de l'avant et pas chuter, c'est de se remplir de choses très positives", préconise-t-il. Une fois la concentration et le plaisir réunis, le sportif évoque une sensation de liberté qui domine le reste. 

Visuellement, la highline est particulièrement impressionnante voire "extrême" mais pour autant, la pratique exige des mesures de sécurité. "Quand je suis sur la sangle, j'ai des sensations fortes, par contre il ne peut rien m'arriver", assure Nathan Paulin.

En dépassant sa peur du vide, Nathan Paulin explique être sorti de sa zone de confort. Une zone de confort qu'il dit vouloir élargir. "L'idée, c'est d'être à l'aise un peu partout. Et donc, c'est un peu ça que cette pratique m'a appris", conclut le sportif.

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