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Paul Goze: "Ambitions compromises"

Paul Goze, le président de Perpignan, battu vendredi (16-35) par le Stade Français en Top 14, a reconnu que les ambitions de son équipe étaient désormais "fortement remises en cause" après cette sixième défaite d'affilée. "Je disais avant le match que si on gagnait, on allait regarder vers le haut, mais à partir de maintenant on ne peut que regarder au mieux le milieu de tableau", a-t-il dit.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
 

- On a senti de la désolation après cette défaite...
Paul Goze: "Désolation est un grand mot, grande déception plutôt. On avait bien préparé ce match et on pensait pouvoir inverser la spirale. Cela ne s'est pas réalisé avec un scénario fou de début de match. On a failli revenir mais on s'est désuni et on a pris 30 points à Perpignan. A l'heure actuelle, rien ne nous réussit. On a des difficultés à mettre en place notre jeu et le sort est encore défavorable. Quand les défaites se succèdent et que le doute s'installe, tout nous est défavorable à donner de la sérénité aux joueurs"
- La décision prise lundi d'évincer le manageur Jacques Delmas n'a pas eu l'effet escompté ?
PG: "C'était une décision pour entériner un état de fait. Il y avait une rupture entre un groupe et son manageur. J'ai été amené à prendre cette décision, aujourd'hui le match n'a pas été favorable à cela. On va continuer à travailler et essayer que la spirale s'inverse. Avec les individualités qu'on a dans l'équipe, je ne pense pas qu'on soit condamné à faire de mauvais résultats tout au long de la saison."

- Peut-on dire que l'Usap va jouer le maintien désormais ?
PG: "Je disais avant le match que si on gagnait, on allait regarder vers le haut, mais à partir de maintenant on ne peut que regarder au mieux le milieu de tableau. Les ambitions de début de saison (une place européenne) sont désormais remises en cause très fortement. Rien n'est encore perdu mais c'est fortement compromis.

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