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Ligue des champions: Le PSG évite une défaite qui aurait fait désordre

Le PSG a énormément souffert avant d'arracher sa quatrième victoire, sur le parquet du club bélarusse de Brest (29-28), dimanche lors de la quatrième journée de la Ligue des champions. Le vice-champion de France a frisé la correctionnelle contre l'équipe présumée la plus faible du groupe A. Mais il a fini par assurer l'essentiel avec ce court succès. Les Parisiens sont déjà quasiment certains d'être qualifiés.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 2min
Fahrudin Melic du PSG (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

Un revers au Bélarus aurait fait désordre pour le PSG, qui avait concédé sa deuxième défaite de la saison en D1 mercredi à Chambéry (33-32). Privés de Luc Abalo (adducteurs) et Jeffrey Ntima (nez cassé), et avec un Daniel Narcisse préservé sur le banc après avoir reçu une béquille à Chambéry, les Parisiens ne se sont pas amusés. Les Bélarusses, même s'ils n'ont remporté qu'un match, ont prouvé qu'il fallait les prendre au sérieux, eux qui avaient déjà mis en difficulté la semaine passée Kiel avant de s'incliner (25-24).

Avec un Mikkel Hansen magistral à la baguette, les Parisiens ont bien maîtrisé la première période, comptant jusqu'à cinq buts d'avance (12-7, 23e). Mais Brest a profité de quelques récupérations de balle pour revenir un peu à la mi-temps (12-15) et semer les graines d'une très bonne seconde période. Se précipitant un peu en attaque, les Français sont restés six minutes sans marquer au retour sur le terrain, avant qu'Igor Vori ne trouve enfin l'ouverture (16-15, 36e).

Un deux minutes infligé à Marko Kopljar a permis aux Bélarusses de revenir  pour de bon (20-20, 44e). Puis Dzmitry Nikulenkau, sur une interception, leur a même donné un but d'avance (25-24, 53e). Les Parisiens, paniquant un peu, ont alors perdu quelques ballons importants. Mais les arbitres sont venus à leur secours, en sifflant un passage en force aux Bélarusses, puis un deux minutes après l'égalisation d'Hansen (28-28, 58e). En supériorité numérique, les Parisiens ont réussi à porter la balle jusqu'à Fahrudin Melic. L'ailier slovène n'a pas raté l'occasion, un ultime tir bélarusse échouant ensuite sur le poteau de Thierry Omeyer.

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