Cet article date de plus de dix ans.

Arsenal: Wenger croit encore au titre

Arsenal n'a "pas renoncé" à l'idée de remporter le titre de champion d'Angleterre et entend bien "le montrer" samedi contre Manchester City lors de la 32e journée, a assuré vendredi l'entraîneur Arsène Wenger. "On n'a pas renoncé, croyez-moi, et on entend bien le montrer samedi, a déclaré le technicien des Gunners. City est le favori avec Chelsea et Liverpool pour le championnat mais c'est notre attitude qui va conditionner la suite des choses".
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
 

Samedi dernier, Arsenal s'est incliné une nouvelle fois lourdement à Chelsea (6-0), après des résultats similaires à City (6-3) et Liverpool (5-0). Mardi, les Gunners ont été accrochés à domicile par Swansea (2-2) et occupent désormais la 4e place à six points du leader Chelsea. "Si six points c'est à 'des années lumières', alors je ne sais pas ce que représente un seul point", a poursuivi Wenger après les propos du consultant et ex-Red Devil Paul Scholes, qui a estimé récemment qu'Arsenal était à "des années lumières" de pouvoir remporter le titre.

"Chacun a le droit d'avoir son avis. Les gens qui n'ont jamais entraîné ont aussi le leur et il faut accepter cela, a-t-il répliqué en direction de l'ancien milieu Mancunien. Vous vivez avec ce qu'il se passe sur le terrain, tout le reste, ce ne sont que des avis. On vit dans une société où circulent des milliers d'avis différents, certains en votre faveur, d'autres non". "Si les gens pensent qu'Everton peut nous attraper, cela signifie que l'on peut rattraper les autres devant, parce qu'ils vont aussi jouer entre eux. N'oublions pas que nous sommes encore en course et en demi-finale de Coupe. Le tableau n'est pas aussi noir qu'on veut bien le peindre", a conclu Wenger. Les Toffees d'Everton sont actuellement 5e à six points d'Arsenal, avec un match en moins et avant la réception des Gunners dans une semaine.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.