Arsenal sur sa lancée
Rayonnant avec son trio offensif Özil-Ramsey-Rosicky, Arsenal a mis quinze minutes pour réduire Naples au silence. Il ne leur a en effet fallu qu'un quart d'heure pour faire exploser les Napolitains, KO debout après un délicieux but d'Özil (8e) puis la réalisation du break de Giroud (15e) consécutivement à une touche jouée bien naïvement par Britos.
Les Anglais efficaces
Avec une parfaite organisation pour mettre sous l'éteignoir Hamsik, l'âme habituelle de l'équipe italienne, et avec des attaquants très mobiles, Arsenal a déboussolé en permanence son adversaire avec ses permutations et ses changements de rythme. Les Napolitains ont eu du mal à tenir le choc et ne se sont vraiment créés d'occasions que sur coups de pied arrêtés. Quand Arsenal leur a laissé l'initiative, pour ne pas perdre trop de forces, les Italiens ont été incapables d'en profiter.
Benitez peut s'estimer malheureux à l'issue de ses retrouvailles avec la capitale anglaise, synonymes de coup d'arrêt et d'un premier revers à la tête de sa nouvelle équipe après six victoires et un nul. De son côté, son homologue Arsène Wenger a de quoi être satisfait. Les Gunners se placent même idéalement en vue d'une qualification en 8e de finale. Difficile pour autant de dire si l'équipe de Wenger, qui a avoué lundi qu'il continuait de rêver remporter un jour cette épreuve, sera dans la même forme au printemps.
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