Cet article date de plus de cinq ans.

Rui Almeida devient l'entraîneur du Stade Malherbe de Caen

Fini la doublette Courbis-Mercadal. Récemment relégué en Ligue 2, le Stade Malherbe de Caen tient son nouvel entraîneur. Rui Almeida tentera de mener le club normand à la remontée dès la saison prochaine. Troisième avec Troyes la saison passée, le technicien portugais s'est engagé pour les deux prochaines années, plus une en option, indique un communiqué du club. L'ex-adjoint de Jesualdo Ferreira (Panathinaïkos, Sporting Portugal), qui a posé ses valises en France en 2015, devient le premier entraîneur portugais sur le banc du Stade Malherbe.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
  (NICOLAS TUCAT / AFP)

Passé par le Red Star, Bastia et Troyes, Rui Almeida continue sa tournée des bancs de Ligue 2. Le technicien portugais a rejoint le Stade Malherbe de Caen dimanche, club récemment descendu de l'élite. L'ambition à court terme est une remontée en Ligue 1. Cette saison à Troyes, Rui Almeida n'avait pas réussi à hisser Troyes au bout des barrages malgré une troisième place acquise au terme de la saison régulière. "C'est quelqu'un qui revendique des valeurs que l'on recherchait : de la rigueur, du travail et de l'ambition.  (...) Il fait jouer les jeunes joueurs, ça faisait partie des critères à prendre en compte dans notre recherche", a réagi Fabrice Clément, le nouveau président dans un communiqué du club.

Adjoint de Jesualdo Ferreira au Panathinaïkos et au Sporting Lisbonne au début des années 2010, le coach lusitanien a commencé sa carrière solo en prenant les rênes de la sélection U23 de la Syrie (en vue des JO 2012). Il a ensuite retrouvé un poste d'adjoint à Zamalek, où il a obtenu un titre de champion d'Egypte en 2015. C'est après cette pige qu'il s'est rendu au chevet des équipes françaises et plus particulièrement en Ligue 2. Après le Red Star (2015-16), il a coaché Bastia (2017) et donc l'ESTAC (2018-19).

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.