"José Pasqualetti était au bout du rouleau. Il n'y avait aucune tension, ni avec son staff, ni avec son effectif, mais il avait envie d'arrêter, il ne se sentait plus suffisamment fort moralement et physiquement pour emmener Nîmes Olympique jusqu'à la trêve...Cela me surprend, mais c'est une démission d'homme, a déclaré le président gardois.Pasqualetti, 59 ans, originaire de Bastia, ancien joueur de Bastia, Montpellier, Lyon, devenu devenu entraîneur d'Ajaccio (L1 et L2), de Sedan (L1 et L2) puis d'Istres (L2), était arrivé à Nîmes en juin 2014, et il a dû gérer la crise. Hakim Malek, jusque-là entraîneur adjoint, dirigera l'équipe à Valenciennes mardi en match en retard de la 15e journée de L2.