Thierry Henry à Monaco, vers la fin du conditionnel
Le choix du Prince. En concurrence avec Antonio Conte et Marcelo Gallardo, Thierry Henry a remporté tous les suffrages haut la main. Un enfant de la maison (1993-1999), même si celle-ci a bien changé, avec une telle aura, le président Dimitri Rybolovlev ne pouvait pas passer à côté pour succéder au bâtisseur Leonardo Jardim. Et à la différence de Bordeaux, incapable de répondre aux exigences de Henry, l'ASM a donné d'autres garanties à son futur entraîneur. L'ancien attaquant des Bleus imiterait alors Didier Deschamps qui avait lui aussi lancé sa 2e carrière e, principauté. "C'est tout le mal que je lui souhaite, avait commenté Deschamps mercredi, à la veille du match nul des Bleus contre l'Islande (2-2). Titi a pris le temps de faire sa formation, il est à son aise avec la sélection belge. S'il l'avait cette opportunité... Il va falloir qu'il se lance à un moment ou un autre de toutes façons."
Henry sait où il met les pieds
A Monaco, l'ancien adjoint de la sélection belge sait qu'il est assis sur un joli trésor de guerre, dont il saura se souvenir en janvier prochain à l'ouverture du mercato hivernal, et que le vestiaire monégasque regorge de talents en devenir. Selon L'Equipe, Henry souhaiterait s'entourer de Julien Stephan, coach de la réserve de Rennes, et du Portugais Joao Tralhao, entraîneur des moins de 23 ans de Benfica. Les bases sont posées pour sortir le club de la zone rouge (18e de L1) et retrouver le chemin de la victoire (L'ASM n'a plus gagné depuis le 11 août).
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