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Coupe de France : une finale sous surveillance

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Coupe de France : une finale sous surveillance
Article rédigé par France 3 - T. Curtet, J. Klein, P. Lagaune,, P-M. De la Foata
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C’est l’événement sportif du week-end : la finale de la Coupe de France de football, qui oppose Nantes à Toulouse, le 29 avril. 3 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés, le chef de l’État étant attendu dans les tribunes. Les rassemblements syndicaux aux abords du stade ont été interdits.

Malgré quelques sifflets, le chef de l’État était descendu sur la pelouse pour saluer les joueurs de la finale de la Coupe de France de football, en 2022. Cette année, une affiche de l’intersyndicale appelle à lui adresser un carton rouge. Depuis le matin du vendredi 28 avril, la CGT manifeste au pied du Stade de France (Seine-Saint-Denis) et revendique des actions tous azimuts pour lutter contre la réforme des retraites.

De hautes mesures de sécurité

Au soir, la préfecture de police a interdit les rassemblements syndicaux aux abords du stade. La décision a fait l’objet d’un recours. La CGT a revendiqué la coupure d’électricité lors d’un match de rugby, la veille. Une action fustigée par Olivier Véran, porte-parole du gouvernement. Au Stade de France, 3 000 policiers et gendarmes ont été réquisitionnés, soit deux fois plus que d’habitude. Les joueurs et les entraîneurs essaient de faire abstraction du climat pour se concentrer sur le sport. Fait rarissime, une barrière sera installée entre les spectateurs et la pelouse. Emmanuel Macron assistera bien au match, mais descendra-t-il ? La question n’est pas encore tranchée.

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