Millar: "Un parcours idéal pour Tony Martin"
"Il faut rester très concentré sur ce type de parcours. Ca va très vite. Cela se joue également au mental. C’est un chrono idéal et vraiment parfait pour Tony Martin", explique l’ancien vice-champion du Monde de contre-la-montre.
"Avec le grand braquet qu’il tire, sa vitesse, la position qu’il a sur le vélo, il ne pouvait pas demander mieux sur un parcours de ce style", rajoute le Britannique. "Pour ma part, je suis satisfait. Vous savez, cela fait un petit moment que je suis moins fort sur les chronos. Je me spécialise sur le plat", plaisante-t-il.
Levarlet : "Il faut vraiment pousser le braquet"
Moins à l’aise sur ce genre d’exercice, le coureur de la Cofidis Guillaume Levarlet confirme les dires de Millar. "Le plus dur c’est surtout de passer les dix premiers kilomètres avec le petit talus. Il faut trouver le bon rythme. Sinon, tu fous ton chrono en l’air. Il faut vraiment pousser le braquet et être puissant et cela n’est pas trop mon cas".
Le coureur de chez Sojasun Julien Simon, héros de l’étape de mardi entre Saint-Gildas et Saint-Malo, reconnait pour sa part le bonheur d’arriver au Mont-Saint-Michel. "J’ai fait le chrono à ma main. J’ai regardé le Mont-Saint-Michel à la fin, c’était sympa. On ne peut pas le rater même quand on est à fond", sourit-il. "C’est magnifique et il y avait du monde sur toute la route. Ca passe super vite comme ça. C’est top".
Vidéo: Tony Martin dans ses oeuvres
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