Brèves de conf’ : Mandanda et Sagna avaient des choses à dire
Steve Mandanda avait révisé sa Roumanie
Titillé par les journalistes roumains sur les probables titulaires vendredi lors du match d’ouverture, Steve Mandanda n’a pas été pris en défaut. Malgré quelques hésitations sur les noms, il a bien maîtrisé son sujet.
« Les joueurs, on en connaît quelque uns malgré ce que vous pouvez penser. Des noms ? Je sais qu’hier « DD » a eu droit à ça donc je me suis préparé. Rat, le capitane Chiriches, Keseru que je connais de Nantes, Popa qui joue à droite. Je suis pas mal… (rires) »
« Les joueurs, on en connaît quelque uns malgré ce que vous pouvez penser. Des noms ? Je sais qu’hier « DD » a eu droit à ça donc je me suis préparé. Rat, le capitane Chiriches, Keseru que je connais de Nantes, Popa qui joue à droite. Je suis pas mal… (rires) »
Benzema ? No comment
La presse espagnole continue de faire des vagues sur l’absence de Karim Benzema en équipe de France. Steve Mandanda a reconnu que sportivement c’était dommage avant de botter en touche.
« Benzema c’est compliqué d’en parler car la liste des 23 est sortie. Malheureusement pour lui et pour nous, car Karim est un joueur important sportivement, il n’est pas là. Comme il n’est pas là on ne peut pas donner notre avis mais c’est un joueur important de l’équipe de France. »
« Benzema c’est compliqué d’en parler car la liste des 23 est sortie. Malheureusement pour lui et pour nous, car Karim est un joueur important sportivement, il n’est pas là. Comme il n’est pas là on ne peut pas donner notre avis mais c’est un joueur important de l’équipe de France. »
Mandanda le grand frère
Barré par Hugo Lloris dans les buts de l’équipe de France, Steve Mandanda se met au service des Bleus. Un rôle aussi bien à l’entraînement qu’en dehors où son expérience l’autorise à prendre la parole …sans parler plus fort que Lloris, N1 et capitaine des Bleus.
« Je ne joue pas mais je pense faire partie des éléments importants de ce groupe. Je suis assez écouté et mon avis compte. Je peux être modérateur, conseillé, pousser un cri de gueule tout en restant à ma place parce que je suis numéro 2 et que Hugo est capitaine. »
« Je ne joue pas mais je pense faire partie des éléments importants de ce groupe. Je suis assez écouté et mon avis compte. Je peux être modérateur, conseillé, pousser un cri de gueule tout en restant à ma place parce que je suis numéro 2 et que Hugo est capitaine. »
Sagna réalise que l’Euro va commencer
Surpris par l’affluence de l’auditorium de Clairefontaine, Bacary Sagna a la confirmation que l’Euro est sur le point de débuter. Pas de souci, l’équipe est prête pour son défi.
« De voir autant de monde, ça veut dire qu’on y est finalement. On a attendu deux ans pour ce jour J. Je pense que l’équipe est prête. »
« De voir autant de monde, ça veut dire qu’on y est finalement. On a attendu deux ans pour ce jour J. Je pense que l’équipe est prête. »
La fusée Coman
Interrogé sur son positionnement derrière Kingsley Coman ou Antoine Griezmann, Bacary Sagna a laissé le champ libre. Vu la vitesse de l’ailier du Bayern et ses dribles, autant lui donner carte blanche.
« Mon rôle est d'abord défensif. J'essaie d'apporter si c'est possible. Mais quand tu as Kingsley Coman qui va à 2000 à l’heure, tu peux être plus en retrait et le laisser aller au un-contre-un car il a cette capacité à éliminer assez facilement. »
« Mon rôle est d'abord défensif. J'essaie d'apporter si c'est possible. Mais quand tu as Kingsley Coman qui va à 2000 à l’heure, tu peux être plus en retrait et le laisser aller au un-contre-un car il a cette capacité à éliminer assez facilement. »
Sagna le futur Simeone ?
Confrontée à des problèmes défensifs, l’équipe de France a resserré les boulons contre l’Ecosse. Pour Bacary Sagna, tout le monde doit prendre part aux tâches défensives. En gros, il faut apprendre à aimer botter en touche.
« Défendre c’est un état d’esprit. On doit prendre plaisir à défendre en équipe et prendre plaisir à dégager le ballon. Ça doit être dans la tête de tout le monde. »
« Défendre c’est un état d’esprit. On doit prendre plaisir à défendre en équipe et prendre plaisir à dégager le ballon. Ça doit être dans la tête de tout le monde. »
1998 ? Sagna a surtout retenu les critiques
Bacary Sagna avait 15 ans lors de la victoire des Bleus au Mondial 1998. Le premier souvenir qui lui vient à l’esprit, c’est la campagne de presse des anti-Jacquet.
« Je me souviens surtout des critiques subies avant la Coupe du monde. A 15 ans, je ne comprenais pas pourquoi un tel acharnement contre l’équipe et le coach Aimé Jacquet. Après l’équipe a bien débuté et est montée en puissance. On doit s’en inspirer aujourd’hui. »
« Je me souviens surtout des critiques subies avant la Coupe du monde. A 15 ans, je ne comprenais pas pourquoi un tel acharnement contre l’équipe et le coach Aimé Jacquet. Après l’équipe a bien débuté et est montée en puissance. On doit s’en inspirer aujourd’hui. »
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