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Débuts réussis pour l'Olympiakos

L'Olympiakos, vainqueur de l'Euroligue l'an passé, et le Real Madrid, finaliste sortant, ont réussi leurs débuts dans la compétition européenne, même si les Grecs se sont fait un peu peur à domicile contre Malaga.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 2min
 

Dans le groupe C, les joueurs du Pirée, qui aimeraient être les premiers  depuis vingt ans à remporter trois fois de suite la prestigieuse compétition  continentale, ont dû attendre le dernier quart temps avant de prendre  l'avantage sur les Espagnols. Sous la houlette de leur pivot Fran Vasquez (12 points et 10 rebonds), ces  derniers les ont longtemps gênés avant de faiblir. Côté grec, le stratège Vassilis Spanoulis, élu meilleur joueur de la  précédente édition, a marqué 13 points et réalisé 5 passes décisives, mais il  n'a pas été en réussite aux tirs primés (1 sur 5). Son partenaire américain  Brent Petway a été plus performant dans ce secteur (3 sur 4) pour un total de  13 points également. 

Dans le groupe B, les Madrilènes ont à l'inverse réalisé une entrée en  matière tonitruante en allant battre le club lituanien de Kaunas, une valeur  sûre du basket européen, chez lui, et ce avec un écart de vingt points (63-83).  Le finaliste de la précédente édition a mené cette rencontre de bout en bout. Il faut dire qu'avec 27 pertes de balle contre 13 pour les Espagnols, les  joueurs de Kaunas ont été loin de mettre toutes les chances de leur côté pour  espérer autre chose qu'une défaite. Le duo Sergio Llull-Nikola Mirotic a inscrit plus du tiers des points du  Real (35). L'arrière international espagnol Rudy Fernandez, ex-joueur de  Portland et de Denver (NBA), a aussi imprimé sa marque dans la rencontre avec  11 points, 9 passes décisives et 6 rebonds.

Le duel des novices en Euroligue opposant, dans le groupe C, l'équipe  polonaise de Zielona Gora aux Allemands du Bayern Munich a tourné largement à  l'avantage des Bavarois (73-94). Les Polonais ont perdu beaucoup trop de ballons (18 contre 7 chez leurs  adversaires) pour rivaliser avec des Munichois emmenés par leur pivot américain  John Bryant, qui a frôlé le double-double (13 points, 9 rebonds).

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