Cet article date de plus de dix ans.

L'état de santé de Jules Bianchi "critique, mais stable" (FIA)

Le Français Jules Bianchi, victime d'une grave sortie de piste dimanche sur le circuit de Suzuka, a passé la nuit à l'hôpital de Yokkaichi (Japon). La FIA annonce que son état est "critique mais stable".
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (©)

Opéré dimanche, en début d’après-midi, après avoir été accidenté lors du Grand Prix du Japon, Jules Bianchi est toujours à l'hôpital de Yokkaichi où son père, Philippe Bianchi, et son agent, Nicolas Todt, l'ont rejoint dans la journée. Les parents de Jules Bianchi sont arrivés lundi vers 13h25 heure française à l'hôpital japonais. Ils ont soigneusement évité les quelques photographes et caméramens postés à l'entrée de l'établissement. 

Dans un communiqué, l'écurie du pilote français Marussia, a demandé "patience et compréhension". La FIA, la fédération internationale de l'automobile, elle, a communiqué de manière laconique. Elle indique que l'état de santé de Jules Bianchi est "critique mais stable" .  A la demande des parents du pilote accidenté, Matteo Bonciani, porte-parole de la Fédération a expliqué aux journalistes avec beaucoup d'émotion : "Comprenez-bien, c'est très très grave"

Ce lundi après-midi, un vidéaste amateur a publié un film énormément partagé sur internet qui montre la violence du choc au moment de l'accident de Jules Bianchi. 

  (La Marussia de Jules Bianchi a violemment percuté l'engin de levage © Capture d'écran)

Autre détail d'importance : dans la vidéo, on voit un commissaire de course agiter un drapeau vert matérialisant l'absence de risque et non un drapeau jaune symbolisant un danger sur la piste. Une fois mis en ligne, le film a été retiré à la demande de la FOM, l'organisme qui gère les Grand Prix de Formule 1. Mais il circule toujours sur la toile. 

A LIRE AUSSI ►►► GP du Japon : questions après l'accident de Jules Bianchi 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.