Renault et Räikkönen, ça chauffe !
Iceman en jaune et noir, ce n'est encore qu'un hypothèse parmi d'autres. Pas la première selon Boullier. "Pour le moment, il y a un premier scénario. On a choisi Vitaly, explique-t-il. Il fait quand même un très bon travail. Il grandit. Il arrive à maturité correctement. Je le presse parce qu'on a besoin d'être rassuré sur son potentiel le plus vite possible. On veut le garder." Avec Kubica, Renault peut jouer le haut du tableau des pilotes. Pour les constructeurs, c'est moins évident. "Si on juge qu'on aura les moyens de jouer un Championnat du monde, on prendra les pilotes qu'il faudra, prévient Boullier. Peut-être que nous les avons déjà d'ailleurs. Mais (...) il ne faut pas non plus aller trop vite. Il faut y aller étape par étape", a-t-il observé, ajoutant que Räikkönen était "un nom parmi d'autres". Reste un autre problème à régler pour Renault : le salaire. L'écurie n'a pas les moyens de Ferrari qui payait grassement le Finlandais 15 millions d'euros par saison. "Je pense que ses prétentions seront révisées à l'économie actuelle, assure le patron de Renault F1. Mais on n'en est pas, loin de là, à discuter de cela avec lui."
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