Yamaha-Tech 3, un mariage qui dure
Troisième force du plateau devant les Ducati et les teams Honda privés, Yamaha et Tech 3 avaient tout pour s'entendre. Le bail est donc prolongé avec un rôle de team satellite où vont éclore les jeunes talents à l'image de Smith et Pol Espargaro la saison prochaine. "Je suis vraiment très heureux de poursuivre notre engagement avec Hervé Poncharal et toute l’équipe de Tech3, a indiqué Lin Jarvis, manager de Yamaha racing. Notre partenariat a eu beaucoup de succès sur la dernière décennie et nous avons beaucoup de bons souvenirs en commun. Le team Monster Yamaha Tech3 demeure la meilleure équipe satellite en MotoGP, leurs pilotes réalisent régulièrement d’excellents résultats et suscitent beaucoup d’enthousiasme auprès des fans. Maintenant que nous avons aussi en commun Monster Energy comme sponsor, notre lien est plus fort que jamais et nous sommes ravis de continuer à collaborer étroitement avec eux pour développer de jeunes talents, un point très important du programme de Yamaha Factory Racing."
Le patron de Tech 3 Hervé Poncharal est au diapason. "Je suis très heureux et très fier d’annoncer que Tech3 continuera à travailler avec et disposera de nouveau du soutien de Yamaha Motor Company pour les deux prochaines années. C’est un honneur et un privilège, assure-t-il. Nous avions commencé à travailler avec Yamaha en 1999, en 250cc, avec Olivier Jacque et Shinya Nakano, et en 2000 nous avions remporté le Championnat du Monde. Nous étions passés dans la catégorie reine la saison suivante et avons depuis vécu un superbe partenariat avec eux. Ce n’est pas uniquement un partenariat technique, nous sentons que nous faisons vraiment partie de la famille Yamaha. L’an prochain nous commencerons une nouvelle aventure avec deux jeunes pilotes : Bradley Smith qui fera sa deuxième année en MotoGP et Pol Espargaró qui le rejoindra, et nous sommes très enthousiastes. Je pense que ce sera une belle équipe pour Yamaha mais aussi pour nos sponsors et quelque chose dont nous pourrons être fiers."
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.