Diack "confiant pour des Mondiaux réussis"
"En trois décennies, les championnats du monde ont connu un développement quantitatif très important. De 1355 athlètes représentant 153 nations lors des premiers Mondiaux en 1983, nous sommes passés à plus de 2000 athlètes représentant plus de 200 pays, pour cette édition à Moscou, ce qui en fait le plus grand événement des sports individuels et pour ce qui concerne la représentation internationale globale, il s'inscrit au niveau par exemple d'une coupe du monde de football", se réjouit Lamine Diack.
La Russie, terre d'athlétisme
Quant à l'organisation en Russie, le président de l'IAAF s'en félicite. "C'est effectivement la première fois que ces Mondiaux se tiendront en Russie. C'est peut-être une anomalie qu'ils n'aient pas eu lieu avant. En tout cas, c'est justifié que nous soyons aujourd'hui à Moscou, car nous n'oublions pas que la Russie a très forte histoire avec l'athlétisme, puisqu'elle reste la deuxième nation de tous les temps au tableau des médailles. Et puis nous nous souvenons du succès qu'avaient connu les championnats du monde en salle en 2006, ce qui ne peut que nous conforter dans la certitude que Moscou va proposer superbe événement."
Concernant les moyens, "tout a été mis en oeuvre pour que les choses se passent sans anicroche, tant pour les athlètes que pour le public. Nous sommes particulièrement heureux que le championnat ait lieu dans ce célèbre stade qui, même s'il a une histoire, a tout de même été modernisé" a précisé Lamine Diack. " Le lieu a été rénové avec notamment une nouvelle piste offrant les meilleures conditions possibles aux athlètes pour peut-être aller chercher de grosses performances. En tout cas tout a été fait pour pour que l'environnement soit en corrélation avec le haut niveau. De nouvelles améliorations technologiques ont été apportées sur les écrans afin que les spectateurs soient mieux informés et donc au plus près de l'action" . Maintenant que tout est prêt autour du stade c'est "aux athlètes de jouer".
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