Cet article date de plus de deux ans.

Athlétisme : les championnats du monde en salle, prévus en 2023 en Chine, repoussés en 2025 en raison du Covid-19

Il s'agit du troisième report de cette compétition, qui se déroulera normalement en 2025, alors qu'elle devait se tenir initialement en 2020 à Nankin (Chine). 

Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le stade olympique de Nankin (Chine) ne verra pas les championnats du monde en salle d'athlétisme en 2023. (LIU JIANMIN / AFP)

Le Covid-19 continue de perturber le monde du sport. Les championnats du monde en salle d'athlétisme de Nankin (Chine), déjà repoussés de 2020 à 2021, puis de 2021 à mars 2023, en font encore les frais. Ils sont cette fois repoussés à 2025, en raison de la pandémie de coronavirus, a indiqué World Athletics, jeudi 1er septembre. "Cette décision a été prise avec l'accord du Comité d'organisation de Nankin et de l'Association chinoise d'athlétisme en raison du contexte pandémique actuel", écrit l'instance dans un communiqué.

"Nous sommes déçus d'avoir dû reporter à nouveau cet événement en raison de circonstances indépendantes de notre volonté, mais nous l'avons fait pour apporter des garanties aux athlètes et aux fédérations membres qui se préparent pour la saison de compétition 2023", a déclaré le président de World Athletics, Sebastian Coe, cité dans le communiqué.

La Chine particulièrement touchée

Après l'édition 2022 disputée en mars à Belgrade, les prochains Mondiaux en salle auront lieu en mars 2024 à Glasgow (Royaume-Uni). Prévue pour être hôte de nombreux évènements d'envergure ces dernières années, la Chine n'a accueilli aucune compétition internationale d'athlétisme depuis le début de la pandémie en 2020.

Les deux meetings annuels de la Ligue de diamant, qui se déroulent habituellement à Shanghai et Shenzhen, ont déjà été annulés en 2020, 2021 et 2022, ainsi que les championnats du monde de semi-marathon 2022.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.