Karabatic, Lavillenie, Lamote et d'autres sportifs tricolores saluent le report des JO de Tokyo
Romain Bardet, cycliste
"C'est bien sûr une décision qu'on attendait et finalement, vu la situation et l'incertitude, elle tout aussi raisonnable que logique. On se demandait depuis plusieurs jours, dans les conditions actuelles et avec les évolutions, comment il serait possible de tenir le calendrier avec les Jeux dans quelques mois. J'ai du mal à réaliser, j'ai du mal à considérer les choses en tant que sportif. Pour ma part, j'ai perdu le fil de la saison, notamment parce que nous n'avons pas de date de reprise. La planète sportive est un peu folle depuis un mois, et en ce moment, j'ai des considérations qui dépassent les seuls terrains de sport.
Je m'étais fait une raison sur les Jeux depuis quelques jours, c'était illusoire de croire que dans moins de six mois, on allait pouvoir réunir dans de bonnes conditions, des athlètes du monde entier pour faire la fête du sport. C'est la décision la plus raisonnable qui a été prise et c'est presque un soulagement pour tout le monde. Pour le Tour de France, la question va être inévitable, mais de mon point vue, qui n'est pas le plus légitime, je pense que les conditions sont différentes. Ce serait un excellent signe si le Tour pouvait se tenir en juillet parce que cela voudrait dire que la situation sanitaire s'est améliorée et qu'on serait sur la bonne voie, mais c'est trop tôt pour se prononcer."
Michaël Guigou, handballeur
"De toute façon, faire les Jeux à 38 ou à 39 ans, ça ne change plus grand chose pour moi ! Le timing était trop serré pour organiser les JO cet été et il y avait beaucoup trop d’incertitudes du fait de la pandémie. Les Jeux doivent être avant tout une fête du sport et là, en ce moment, on est quand même très loin de la fête... Le report était nécessaire et comme l’an dernier la Coupe du monde de rugby a été perturbée par un typhon, je comprends l’inquiétude des Japonais si les JO avaient été déplacés à l’automne.
Ça doit être un signe du destin : j’avais encore un an de contrat avec mon club de Nîmes donc j’étais de toute façon parti pour jouer jusqu’en 2021. Et puis, j’ai un coéquipier égyptien, Mohammad Sanad, qui me parlait sans arrêt du Mondial 2021 dans son pays, que je n’aurais pas disputé si j’avais pris ma retraite internationale cet été, et franchement, avec ce qu’il me racontait sur l’ambiance là-bas, ça me dérangeait de ne pas y participer. Là, ce report me donne une motivation supplémentaire. J’ai la chance d’être en bonne santé et je me sens toujours compétitif."
Steven Da Costa, karatéka
"C’est une décision logique de la part du CIO et du gouvernement japonais avec cette épidémie qui continue malheureusement de toucher le monde entier. Tous les sportifs n’auraient pas pu être sur un même pied d’égalité dans leur préparation avec ces mesures de confinement. Tous les TQO étaient reportés… C’est une bonne chose à mon sens pour l’équité sportive. Personnellement, ce report n’est pas une déception car nous sortons de deux années intenses de qualification avec des compétitions tous les mois. Cette annonce va me laisser le temps de souffler, de me reposer mentalement et physiquement car l’essentiel est acquis de mon côté : je suis déjà qualifié pour cette édition des JO aux Japon.
Je vais maintenant attendre que le CIO communique la nouvelle date officielle pour cette édition japonaise afin de mettre en place un programme de préparation avec la DTN de la Fédération Française de Karaté. Si les Jeux Olympiques sont reportés à l’été 2021, j’aurai deux objectifs intermédiaires avec les Championnats du monde (17 au 22 novembre 2020 à Dubaï) et les Championnats d’Europe (printemps 2021) pour me préparer et surtout conserver mes titres dans ces deux épreuves. En attendant, et c’est à mon sens la priorité actuelle, j’apporte tout mon soutien aux personnes engagées depuis de nombreux jours pour endiguer cette épidémie mais aussi à ceux qui sont mobilisés au quotidien dans cette période de confinement. Un seul message : Restez chez vous."
Renaud Lavillenie, perchiste
"C’est une malheureuse bonne décision parce qu’on aurait tous aimé avoir les Jeux en 2020 mais vu le contexte actuel, il n’y avait plus d’autre option. Il est aussi important de voir que le sentiment et la volonté des athlètes a été respectée. Maintenant on va tous être soulagés en se disant qu’on n’a plus besoin de s’entraîner en faisant du bricolage à la maison, on va pouvoir se poser mentalement et ça va faire du bien."
"C’est vraiment un soulagement car on voyait bien que ces Jeux n’auraient pas pu se dérouler dans des conditions saines. La santé des sportifs devait être la priorité et ce qui était compliqué pour nous, c’était de nous entraîner dans des conditions précaires pour une compétition qui apparaissait comme de plus en plus fantôme. Ça permet aussi de se concentrer encore plus désormais sur cette lutte contre la pandémie que de focaliser sur cette organisation des Jeux qui est vraiment très secondaire à mon sens...Mon programme désormais ça va être de continuer à me préparer car on vient juste de gagner un an de préparation en plus, mais on va être désormais plus libéré par rapport à cette pression que nous avions."
Nikola Karabatic, handballeur
"C’était la plus sage décision à prendre. Bien sûr que j’aurais aimé que les Jeux aient lieu le plus tôt possible, dès cet été mais il fallait attendre que la crise mondiale liée au coronavirus soit vraiment derrière nous. Le report au mois d’octobre, je n’y croyais pas du tout, ça aurait posé des problèmes de calendriers difficiles à résoudre. Avec des JO en 2021, si la France se qualifie, je pense qu’on a de grandes chances de me voir au Mondial 2021 en janvier prochain en Égypte. Si la France y est bien sûr! Ça fait beaucoup de « si » tout ça..!"
Christophe Lemaitre, sprinteur
"C’est une décision cohérente, à partir du moment où les sportifs confinés ne peuvent pas s’entraîner normalement, comme ils le feraient dans des circonstances normales, c'est tout à fait justifié. Pour moi c’est une bonne nouvelle. Car imaginons que la situation se résolve vite, on aurait de toute façon eu plusieurs semaines d’entraînement très compliquées. Il fallait réagir rapidement. Quoi qu’il en soit, il valait mieux prendre une décision le plus vite possible afin que les athlètes se préparent en conséquence. Nous sommes tous dans l’incertitude et c’est cela qui pose réellement problème. On était obligés de faire comme si tout allait se dérouler normalement alors que la situation n’a rien de « normale »".
"Le sport dans un second temps"
"Aujourd’hui, il y a des problèmes plus importants à régler dans le monde. Il faut enrayer cette épidémie le plus rapidement possible en restant chez soi, confinés, même si cela se fait au détriment de notre préparation. Il faut avant tout penser à cette pandémie avant de se focaliser de nouveau sur le sport. On pensera aux Jeux olympiques dans un second temps, quand tout sera terminé".
Yohann Diniz, marcheur
"Enfin ! (en riant, puis plus sérieusement) C’est la plus sage des décisions. Aujourd’hui, personne ne maîtrise la situation sanitaire et il faut d’abord éradiquer la pandémie avant de penser à la grande fête olympique. Le report était inéluctable. Aujourd’hui, il nous faut une date au plus vite. En automne, cela aurait peut-être été le mieux pour les épreuves de fond, vues les conditions climatiques plus douces au Japon à cette période. (Quand à son âge dans un an, 44 ans). Oui, un an de plus. On se chambre avec Mélina Robert-Michon (40 ans) sur notre grand âge ! Si c’est 2021, je serai là. Ce n’est pas un problème de faire un an de plus, ni physiquement, ni mentalement. Il nous faut juste une date pour que l’on puisse se remobiliser à nouveau".
Jean-Charles Valladont, tireur à l'arc
"Je faisais partie des gens pour le report. Aujourd'hui, une grande partie de la population mondiale est confinée chez elle et sincèrement il faut regarder plus loin que notre sphère de sportifs. Comment pouvait-il en être autrement ! Les JO, c'est important, mais ce n'était peut-être pas la priorité.
J'ai la chance de pratiquer un sport où le physique est important mais peut-être moins qu'une gymnaste par exemple, alors je prends cela avec philosophie surtout que je n'étais pas au top au début de saison."
Maxime Marotte, spécialiste du VTT cross-country
"J'espérais dans un premier temps que les Jeux se déroulent en temps et en heure, mais au fil des informations et de la situation dans le monde entier, je n'y croyais plus. Maintenant, il faut du temps pour se projeter dans l'avenir, digérer l'information. Quand les organisateurs ont dit que cela allait peut-être le faire, j'ai tout de suite compris que cela... n'allait pas le faire ! Les voyants étaient tous au rouge, la décision est sage et c'est bien d'avoir tranché.
Si je ne pense qu'à moi, oui je suis déçu, car obtenir son billet pour la France en VTT c'est très difficile. Mais j'aime les Jeux et j'ai envie que ce soit une belle épreuve et pas une au rabais. Tout le monde doit se battre avec les mêmes armes et cela ne pouvait pas être le cas. Mais tout cela n'est que du sport et il faut regarder ce qu'il se passe dans notre pays, prendre du recul et vivre ce confinement et cette période du mieux que l'on peut. Je ne vais pas me laisser abattre et j'ai du mal à comprendre les athlètes qui disent ne pas trouver la motivation, car c'est maintenant plus que jamais que l'on doit être fort et garder le moral. Pour les Jeux, on verra !"
Jérémy Florès, surfeur
"Je m'y attendais. La situation sanitaire ne s'améliore pas. Beaucoup de grandes nations comme le Canada et l'Australie avaient annoncé qu'elles n'iraient pas aux Jeux cette année. Sans eux, ça n'allait pas pouvoir se faire. J'étais certain qu'il y aurait un report. Je sais que pour certains sports, certains sportifs, les Jeux Olympiques sont le rendez-vous de toute une carrière. Tout est programmé pour les Jeux. Pour le surf, pour nous les surfeurs, les JO sont quelque chose de tout nouveau. Alors je me dis que le surf n'est pas à un an près. Ce n'est pas cette année ? OK, à l'an prochain alors. Il reste encore des tournois de qualifications. Les sportifs vont pouvoir encore mieux se préparer pour aller chercher les places qui restent en jeu. Tout sera encore mieux pour ces Jeux Olympiques de 2021."
Siraba Dembélé-Pavlovic, capitaine de l’équipe de France féminine de handball
"C’est une décision raisonnable. Elle peut paraître tardive pour certains mais il fallait bien réfléchir avant de se prononcer, prendre son temps, la priorité, c’est la santé mondiale. Personne ne doit prendre de risques. Maman de jumeaux depuis le mois de novembre, je pense plus aujourd’hui au bien-être de ma famille qu’aux Jeux… Comme beaucoup d’athlètes, pour ne pas gâcher tout un planning de préparation, j'aurai un report pas trop éloigné dans le temps, à l’automne. Un report d’un an pour des sportifs(-ives) qui ont une grande partie de leur carrière derrière eux (elles) comme moi, ça risque d’être plus compliqué. Mais on fera avec !"
Samir Aït Saïd, gymnaste
"C’est une très bonne chose. On est dans le doute, on ne sait pas où on va… On survit et personnellement j’ai énormément de mal à m’entraîner. J’ai installé une salle de gym de fortune sous le haut vent de mon voisin car chez moi c’est trop petit, mais c’est dehors et depuis 2 jours, il fait hyper froid. C’est très dur de s’entraîner. J’ai accroché des anneaux sur une poutre en bois mais impossible de faire une croix de fer, les ressentis ne sont pas du tout les mêmes. J’espère maintenant que le report soit en juillet 2021, histoire de garder l’idée de Jeux d’été….
Astrid Guyart, fleuriste
"C’est bien pour les athlètes d’avoir un horizon plus clair. C’est l’incertitude qui était pesante.. l’important pour nous, sportifs de haut niveau, est maintenant de se projeter dans l’avenir plus sereinement. On ne s’attendait pas à ce qu’une décision soit prise aussi tôt. Moi j’avais 2 critères pour que ces Jeux soient assurés: 1/, que les JO soient organisés dans le respect de la santé de tous et 2/ que l’équité sportive, dans la préparation, soit respectée. C’est l’événement de notre vie les Jeux olympiques…Aujourd’hui, c’est la moins mauvaise solution que le CIO a prise. Qui peut être satisfait de cette situation ? Tout le monde est perdant. Mais le sport ne sera qu’une conséquence de la crise sanitaire…"
Amandine Leynaud, gardienne équipe de France de hanball
"Le CIO fait le bon choix. Ça devenait impossible de faire les JO en juillet, ça me paraissait compliqué aussi de les organiser à l'automne avec la reprise des championnats respectifs. J'espère qu'on sera toujours qualifiées (le prochain Euro, qualificatif, est en décembre, NLDR), il n'y a pas de raison, on avait notre ticket en poche. J'avais prévu d'arrêter les JO après les JO de 2020, là avec 2021, je ne sais pas si je vais repartir pour une saison. On verra".
Cyril Tommasone, gymnaste
"C’est une très bonne nouvelle. C'est un grand « ouf » de soulagement. En ce moment, on essaie de garder la forme, j’ai mis un cheval d’arçons dans mon garage mais le plafond est trop bas, j’ai juste la tête qui passe, c’est chaud. On essaie de s’entraîner un peu mais c’est hyper compliqué, je suis tout seul je n’ai pas mon coach. Si je m’arrête 1 mois, il va me falloir 2 mois pour revenir à mon niveau. En terme d’organisation, il faudrait décaler les Jeux à l’année prochaine. Comment veux-tu faire pour ceux qui ne sont pas encore qualifiés ? Et nous, qui avons eu très peu de compétitions pour nous entraîner".
Sandrine Gruda, basketteuse
"Il faut d’abord que la vie reprenne, le sport passe loin derrière. Tout le monde est dans l’inconnu face à la pandémie. (...) La situation est unique. Il va falloir que tout le monde soit flexible : athlètes, fédérations, pays. Il faut que tout le monde y trouve son compte. A l’été 2021, nous, l’équipe de France, nous avons un championnat d’Europe, en France, qui plus est. Autrement dit, vous voyez, la situation est complexe. Nous, sportifs, on doit être patient, mais dans les bureaux, ça doit être bien plus compliqué !"
Marc-Antoine Olivier, nageur en eau libre
"Le confinement remettait en cause toute la préparation olympique, c’est une bonne chose de repousser les Jeux dans un an. En plus au village olympique c’est compliqué, on mange tous au même endroit, on prend tous les mêmes navettes, cela aurait été compliqué : un cas aurait pu relancer l'épidémie très vite. Après il faut savoir comment ils vont faire. Il y a déjà des athlètes qualifiés. Est-ce qu’ils vont remettre des places en jeu, garder ceux déjà qualifiés ? C’est ça la question à se poser. Mais je pense que ce serait bien de rajouter des places. En un an il peut se passer énormément de choses. Là, c’était de plus en plus compliqué de s’entraîner. La première semaine on était motivé, mais là..."
Marine Boyer, gymnaste
"Je ressens beaucoup de déception. On a eu un programme hyper chargé tout au long de cette année. On avait qualifié l’équipe pour les Jeux. On était parti pour les JO et là tout s’arrête, on est perdu. Je me disais que les Jeux pourraient se faire, qu’à l’automne ça pourrait encore aller. Je viens juste d’apprendre la nouvelle, je suis vachement déçue, mais la santé avant tout."
Enzo Lefort, escrimeur
"C’était impossible d’envisager les Jeux en juillet, c’est évidemment une bonne décision. Il faut penser collectif et à l’équité. Pleins de questions se posent à présent : les critères de sélection seront-ils les mêmes ? Les nouveaux talents qui vont émerger en 2021 auront-ils leur place aux JO ? Personnellement, j’aurais aimé que les JO soient déplacés à l’automne. J’en ai marre, depuis septembre, j’ai la tête dans le guidon. C’est ça les années olympiques, on s’investit beaucoup plus que les autres années. J’avais dans la tête cette date avec les JO et là, il faut repartir pour un an. Mais encore une fois, on parle d’un combat contre une épidémie mondiale, c’est donc une très bonne décision."
Rénelle Lamote, athlète
"C’est un soulagement que le CIO ait pris cette décision. Je me sentais partagée entrée mon devoir de citoyenne et mon entraînement. J’étais un peu perdue sans savoir où aller. Donc du point de vue sportif c’est un vrai soulagement, on sent que le CIO nous a écoutés et qu’il nous respecte. La priorité aujourd’hui ce ne sont pas les Jeux mais de combattre ce virus. Les repousser d’un an c’est préférable car ça nous permettra de préparer une nouvelle année olympique paisiblement. Cela nous permettra d’avoir un entraînement optimal."
Mélanie De Jesus Dos Santos, gymnaste
"C’est beaucoup de frustrations, de déception aussi… On était bien parti (l’équipe féminine s’était qualifiée pour les JO, NDLR) et on est stoppée en pleine course. C’est dur à vivre mais c’est une question de santé donc il n’y a rien à dire. L’année olympique est toujours très dure, surtout au début. On doit reprendre la préparation physique et mentale. On va devoir donc recommencer tout ce que nous avons déjà fait et ca va être difficile. Je vais essayer de garder le physique, je suis à la campagne, je ne sais pas trop s’il y aura des compétitions une fois sorti de confinement. On travaille un peu dans le vide, mais là aussi il faut penser à la santé, avant toute chose."
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