Vidéo "Aux Jeux, citoyens !" : la technologie au service des athlètes paralympiques

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Durée de la vidéo : 3 min
Nous sommes à 398 jours de l'ouverture des Jeux Paralympiques de Paris 2024, les athlètes se doivent de trouver l'équipement le plus adapté afin de performer. Découvrez comment la haute technologie se met au service de la performance paralympique.
Le Tic-tac des Jeux : la technologie au service des paralympiens Nous sommes à 398 jours de l'ouverture des Jeux Paralympiques de Paris 2024, les athlètes se doivent de trouver l'équipement le plus adapté afin de performer. Découvrez comment la haute technologie se met au service de la performance paralympique.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
L'émission "Aux Jeux, citoyens !" est partie à la rencontre de Rémy Boullé et Chiara Zenati dans leur quêtes de perfection pour les Jeux paralympiques.

"Une grosse partie de la performance vient du matériel." Rémy Boullé, 35 ans, médaillé de bronze en para canoë aux Jeux paralympiques de Tokyo, sait de quoi il parle. Celui qui cherche à optimiser ses performances en vue de l'échéance parisienne de l'an prochain, qui prendra place du 28 août au 8 septembre.

Pour cela, sa coque en carbone, qui équipera son canoë en compétition, est préparée au millimètre près dans un atelier de conception à Saumur. Luc Dereux, directeur d'exploitation chez Janton-Mouvly témoigne de son implication, qui va au-delà de la simple performance sportive. "Ce qui nous intéresse aussi c'est d'en faire rejaillir des choses pour monsieur tout le monde. Ce qu'il faut surtout voir, c'est ce qu'il restera après les Jeux olympiques de Paris. On sera encore là.

L'équitation, aussi concernée

Aux côtés de Swing Royal, son cheval, Chiara Zenati, 20 ans et championne de France de para dressage, use aussi de technologies de pointe pour réussir sa préparation en vue des Jeux. Un passage obligatoire pour la jeune cavalière. Alors que jamais l'équipe de France de para dressage n'a obtenu de titres aux Jeux paralympiques, tout est mis en place pour briser ce plafond de verre. "On va essayer d'adapter le matériel pour rééquilibrer la selle, pour aider le couple cavalier/cheval à se sentir mieux et pour optimiser leurs performances", explique Agnès Olivier, responsable du plateau technique de l'IFCE de Saumur.

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