Théâtre : seule en scène dans "Le Consentement", Ludivine Sagnier souhaitait "donner du soutien à toutes les femmes" victimes d’emprise

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Théâtre : seule en scène dans "Le Consentement", Ludivine Sagnier souhaitait "donner du soutien à toutes les femmes" victimes d’emprise
Théâtre : seule en scène dans "Le Consentement", Ludivine Sagnier souhaitait "donner du soutien à toutes les femmes" victimes d’emprise Théâtre : seule en scène dans "Le Consentement", Ludivine Sagnier souhaitait "donner du soutien à toutes les femmes" victimes d’emprise (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
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Ludivine Sagnier se produit au théâtre dans une adaptation du livre "Le Consentement", dans lequel Vanessa Springora dénonçait la relation d'emprise qu'elle avait vécue avec Gabriel Matzneff. Elle est l'invitée du 12/13 info, vendredi 29 février.

Ludivine Sagnier, 44 ans, a fait sa première apparition au cinéma en 1989. Elle se produit actuellement au théâtre dans Le Consentement, une adaptation du livre de Vanessa Springora qui dénonce la relation d’emprise qu’elle a subie de l’écrivain Gabriel Matzneff, qui avait 36 ans de plus qu’elle. "Le metteur en scène, Sébastien Davis, m’a tout de suite proposé, une fois qu’on avait lu ce livre, de monter la pièce. (…) J’ai eu envie, par rapport à mon expérience personnelle et mes proches, et par rapport à cette révolution qui est en marche, (…) de faire partie de cette révolution. C’était ma façon à moi de témoigner et de donner du soutien à toutes ces femmes qui ont subi ce genre d’emprise", confie Ludivine Sagnier dans le 12/13 info, jeudi 29 février.

"C’est un texte qui révolte"

Ludivine Sagnier se produit seule en scène. Elle dit avoir beaucoup pleuré en lisant le texte. "C’est un texte qui révolte, qui dégoûte, qui donne envie de tout exploser. En tant que mère de trois filles, je pense que j’étais d’autant plus concernée", poursuit la comédienne. Pour elle, la difficulté de la pièce était "de trouver la bonne distance pour en parler et que ce ne soit pas seulement un faits-divers mélodramatique", mais que le texte puisse "être l’objet d’une interrogation collective entre le spectateur et l’acteur"

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