"Le clan des divorcées", le succès d'une pièce phénomène
C'est un OVNI que l'on pourrait comparer, toutes proportions gardées, aux Ch'tis de Dany Boon. Une histoire belge en somme. Le Bruxellois Alil Vardar écrit "Le clan des divorcées" pendant qu'il sillonne les cafés-théâtres de l'Hexagone.
C'est à Toulouse que la pièce est montée pour la première fois dans un magasin de meubles, faute de salle. Cela n'empêchera pas 20 000 personnes de venir l'applaudir dans ce lieu. La légende est en route.
Vient le festival d'Avignon où l'on se bat presque pour assister aux représentations ; puis Jacques Dahan, le directeur du théâtre Le temple à Paris, a le coup de foudre. La carrière parisienne de la pièce est lancée.
La pièce "Le clan des divorcées" est jouée pendant un an à guichets fermés à la Comédie République ; puis pendant 3 ans à La Grande Comédie avant 16 mois de triomphe au Palace et ses 800 places.
Dans cette période de crise, "Le clan des divorcées" est un véritable antidote à la morosité. L'humour sans prétention vous fait travailler les zygomatiques sans relâche pendant 1h30.
Par les temps qui courent, c'est un vrai luxe.
A Nice:
Nadège Gueugnon est la bimbo
Sylvia Delattre est l'aristo
Eric Collado est Brigitte "la rurale"
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