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Kerakoum un plaidoyer musical métissé pour l'Algérie

Cinquante ans après la signature des accord d'Evian (18 mars 1962) mettant fin à la guerre d'Algérie, raconter l'histoire de l'immigration peut être un moyen de lutter efficacement contre les discriminations. Yan Gilg l'a compris en créant la compagnie Mémoires Vives en 2006. Aujourdh'ui il est à l'origine de Kerakoum, un groupe à mi-chemin entre rap, slam et théatre né d'une collaboration artistique avec le groupe marseillais Naïas, la rappeuse strasbourgeoise Severe et JB.
Article rédigé par franceinfo - Marie Chatillon
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Kerakoum
 (France 3 / Culturebox)

Kerakum aborde la question du métissage et du croisement des cultures entre musiciens, instruments, sonorités, langues et accents d'ici et de là bas. La musique du groupe se compose autour de l’accordéon d’Yves Beraud, de la mandole et du chant de Daniel Gaglione,  de la guitare manouche de Jean-Baptiste Boley, du oud de Malik Ziad, des percussions de Mathieu Goust, du slam de Yan Gilg et du rap de Séverine Mayima.

Keratum, un voyage de Strasbourg à Marseille en passant par Alger…

 

 

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