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"Un amour qui ne finit pas", écrit par André Roussin, est à l'affiche du Théâtre Antoine pour 50 représentations exceptionnelles à partir du 17 mai 2016. Léa Drucker, tête d'affiche avec Michel Fau, qui signe aussi la mise en scène, est nommée aux Molières 2016 dans la catégorie "Comédienne dans un spectacle de Théâtre privé".
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L'argument :
Pour ne pas vivre une fois de plus un amour sans lendemain, Jean décide d'aimer à distance une femme avec laquelle il convient de n'entretenir que des rapports épistolaires. Il s'épanouit dans cette relation d'un nouveau genre, excluant toute forme de jalousie et de souffrance, mais voilà que le mari décide de s'en mêler. Ce triangle amoureux se complique encore d'avantage lorsque la propre femme de Jean entre dans la danse.
Cette pièce parle de l'usure d'un couple, d'un homme qui rêve de passion et d'une femme bourgeoise, interprétée par Léa Drucker: "Ces époux ont une relation platonique. C'est un peu le combat du rêve contre la réalité. Cette oeuvre a été écrite dans les années 60 et se moquait de la famille bourgoise telle qu'elle était". Thème intemporel, il semblerait que le sujet soit toujours autant d'actualité : "Même sans être mariés, on peut tous faire partie d'un duo dans lequel la flamme s'éteint petit à petit", ajoute la comédienne.
Nommée aux Molières dans la catégorie "Comédienne dans un spectacle de Théâtre privé", Léa Drucker rejouera "Un amour qui ne finit pas" au Théâtre Antoine à partir du 17 mai.
Pour ne pas vivre une fois de plus un amour sans lendemain, Jean décide d'aimer à distance une femme avec laquelle il convient de n'entretenir que des rapports épistolaires. Il s'épanouit dans cette relation d'un nouveau genre, excluant toute forme de jalousie et de souffrance, mais voilà que le mari décide de s'en mêler. Ce triangle amoureux se complique encore d'avantage lorsque la propre femme de Jean entre dans la danse.
L'homme et la femme, un sujet universel
Cette pièce parle de l'usure d'un couple, d'un homme qui rêve de passion et d'une femme bourgeoise, interprétée par Léa Drucker: "Ces époux ont une relation platonique. C'est un peu le combat du rêve contre la réalité. Cette oeuvre a été écrite dans les années 60 et se moquait de la famille bourgoise telle qu'elle était". Thème intemporel, il semblerait que le sujet soit toujours autant d'actualité : "Même sans être mariés, on peut tous faire partie d'un duo dans lequel la flamme s'éteint petit à petit", ajoute la comédienne.Le droit de rêver
"Jean est un homme qui rêve beaucoup. Il se heurte constamment à la réalité", explique Léa Drucker. Drôle mais cruelle, la pièce transmet un discours assez pessimiste sur l'amour. Le public peut facilement se retrouver dans chaque personnage : "Il nous arrive d'entendre des débats à la fin des représentations. Les gens s'interrogent : mais qui aime vraiment au final?"Nommée aux Molières dans la catégorie "Comédienne dans un spectacle de Théâtre privé", Léa Drucker rejouera "Un amour qui ne finit pas" au Théâtre Antoine à partir du 17 mai.
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