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INTERVIEW : Stéphane Guillon, "Hollande s’est révélé un merveilleux client"
Depuis le 19 janvier, Stéphane Guillon est sur scène avec son nouveau one-man-show : "Certifié conforme". Un label validé, dit-il, par tous les partis politiques, toutes les obédiences, la SPA, SOS Racisme, la ligue de défense des hérissons, tout le monde… Jusqu’au 30 avril au théâtre Dejazet à Paris.
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Stéphane Guillon était l’invité de Nathanaël de Rinquesen pour les Cinq dernières minutes du 13H de France 2
"C’est un spectacle que j’ai fait sur mesure, qui plait à tout le monde, qui ne dérange personne donc certifié conforme", explique Stéphane Guillon. La scène est le dernier espace de liberté. On peut dire énormément de choses".
Dans ce nouveau one-man-show, les thèmes ne sont pas seulement politique même si la politique y tient une place importante : changement tout de même, sa tête de Turc n’est plus Nicolas Sarkozy mais François Hollande.
En plus des séquences travaillées et préparées, Stéphane Guillon traite l’actualité à chaud, "celle qui sort du four", en arpentant la scène comme le faisait naguère Guy Bedos.
"C’est un spectacle que j’ai fait sur mesure, qui plait à tout le monde, qui ne dérange personne donc certifié conforme", explique Stéphane Guillon. La scène est le dernier espace de liberté. On peut dire énormément de choses".
Dans ce nouveau one-man-show, les thèmes ne sont pas seulement politique même si la politique y tient une place importante : changement tout de même, sa tête de Turc n’est plus Nicolas Sarkozy mais François Hollande.
Beaucoup d’autres sujets sont évoqués par l’humoriste. "Le spectacle n’est pas que politique, explique-t-il encore, il y a beaucoup de sujets sociétaux comme la fin de vie ou le mariage recomposé et même les attentats avec lesquels il n’est pourtant pas si facile de faire rire.Après Sarkozy, j’ai cru qu’on ne pourrait jamais aller plus loin dans l’outrance et le bêtisier. Et pourtant si ! Finalement, Hollande s’est révélé un merveilleux client. Je me suis trompé".
En plus des séquences travaillées et préparées, Stéphane Guillon traite l’actualité à chaud, "celle qui sort du four", en arpentant la scène comme le faisait naguère Guy Bedos.
Et il y a aussi des imitations. Sarkozy bien sûr, même s’il n’est plus sa cible favorite et aussi Hollande ou Valls.Le rire est une soupape
Valls, il doit être crevé en fin de journée. Il ne respire pas quand il parle, il est en apnée.
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